Ivresse
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
tutu,
volupté,
Auteur: Chineurs5, Source: Revebebe
... jamais, pas grave, je continue mes envies.
Je me lève, te tire vers le canapé tout proche, te dispose pour que tu sois bien et accessible à la fois ; Ta tête sur un coussin, ton pied gauche repose sur le sol, ta cuisse droite collée au dossier. Bien et accessible…
Les boules de glaces sont pratiquement fondues, la neige tombe de plus belle, le chien dort, le feu dégage toujours une douce chaleur.
Je prends une assiette de dessert et m’approche de toi. La cuillère qui l’accompagne est un peu froide, je la fais circuler sur ta peau pour te faire sursauter. Je passe son bombé sur l’intérieur de ta cuisse droite, de bas en haut, sans trop m’approcher de ton sexe.
Je viens ensuite prendre un peu de glace que je porte à tes lèvres, tu ouvres la bouche mais restes un peu comme ça, en suspend, je ne te donne pas la crème presque liquide. Juste la déposer par gouttelettes sur tes lèvres pour te regarder faire.
Tes lèvres que j’adore se laissent lécher par ta langue qui vient goûter la vanille, je ne sais pas si tu en as conscience, mais tes gestes sont d’une sensualité qui agit très fort sur moi.
Je pose l’assiette et me déshabille. Je suis nu et tu ne peux pas avoir d’interrogation sur mes intentions. Je prends un morceau de pomme cuite, le promène de ton ventre au sein droit, il dépose sur son chemin un peu de sucre que je lécherai plus tard. Je le lâche prêt de ton mamelon érigé.
Je viens le cueillir de ma bouche et fais le chemin inverse sur ta peau, prenant ...
... au passage tout le sucre cuit, ne laissant rien derrière moi. Cette course m’emmène vers ton sexe, je vais y goûter. Je souffle légèrement sur tes douceurs, tu réagis langoureusement, demandant plus. Je m’approche, retrouve ce parfum léger de ton corps amoureux, mes lèvres te touchent enfin, doucement j’écarte les tiennes, doucement je mets ma langue en toi, tu trembles de ce tremblement qui trahit l’état de ton plaisir. Il ne faudrait pas grand-chose pour que tu jouisses maintenant, mais je ne le veux pas, je veux te garder au bord de l’abîme, à la frontière de ta raison, que tu aies toujours plus envie, que tu réclames mon sexe en toi.
J’ai de plus en plus de mal à contenir mes envies, ma langue te fouille, cherche ton clitoris et le trouve. Je m’applique à le traiter comme il aime, l’effet ne se fait pas attendre, tes gémissements sont plus longs et plus forts à la foi, nous perdons pied, je te veux.
Je ne me relève pas, je rampe sur toi, vais t’embrasser goulûment, frénétiquement. Le goût de la vanille est encore présent.
Je n’y tiens plus, je veux être en toi.
Mon sexe te trouve, ton humidité facilite son cheminement, je m’enfonce en une fois, sans prendre de précautions inutiles étant donné l’excitation qui nous réunit.
Hummm, je suis en toi, reste un peu immobile, pas trop. Tu soupires, je sais que tu aimes ces instants, juste avant que tu ne passes voir ce qu’il y a « derrière ».
Ton sexe épouse le mien, je sens mes veines, l’une après l’autre, masser ...