Ivresse
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
tutu,
volupté,
Auteur: Chineurs5, Source: Revebebe
... dit que cette lumière t’allait à merveille.
Toujours accroupi, je suis à tes pieds, mes mains remontent sur tes jambes en les caressant doucement, ma bouche les rejoint. J’embrasse un mollet, remonte un peu, m’attarde dans la pliure d’un genou, y séjourne un peu pendant que ma main droite passe entre tes cuisses à peine écartées. Elles reçoivent toutes deux la caresse, plus je monte, plus celle-ci est insistante. Je monte encore, jusqu’à la butée.
Là je vais d’avant en arrière, sans volonté de te prendre, juste frotter ton sexe. Ton humidité se dépose sur ma peau, ta gorge est loin de moi mais je l’entends gronder un peu, tes hanches bougent, tu aimes. Je laisse ton sexe pour mettre mes mains sur tes jambes.
Je ne sais si c’est ma main revenue à l’air libre ou tes lèvres plus que moites, toujours est-il que je sens ton odeur. Effluves d’une femme dans l’impatience d’être prise. Senteur qui n’appartient qu’à toi, douce, presque imperceptible, incomparable, qui me donne très envie de te goûter. Te sentir me fait bander encore plus fort, je suis maintenant vraiment à l’étroit dans mon pantalon, je ne vais plus résister longtemps.
Ma bouche te parcourt toujours, je remonte ton corps, j’ai quitté l’arrière de ton genou, me voilà sur une fesse, la gauche, j’embrasse, je mords tendrement, je frôle de mes lèvres. Me voilà sur tes reins. Sur cet évasement sensuel formé par la courbe de ta colonne vertébrale qui surplombe deux sphères que j’adore, je vais de droite et de ...
... gauche. Ma course est stoppée au centre, sur ton épine dorsale. Même si tu n’as vraiment rien d’une épine.
J’ai le choix de monter ou de descendre. Monter pour aller vers ton cou, descendre pour …
Je vais vers le bas.
Le bas de ton dos, le haut de tes cuisses. Je vais doucement, restant au centre de ton corps, j’atteins le début de ton sillon, je lèche un peu ta peau à cet endroit. Mes mains sont passées devant toi, le feu a bien réchauffé ton ventre, tu es chaude, je profite de ta chaleur.
Ma bouche descend encore, exactement entre tes fesses, sans quitter ta peau. Mes mains viennent à mon secours pour écarter un peu tes deux globes, que je puisse poursuivre mon chemin sans difficultés, en restant en contact avec le fond de ton sillon, toujours en embrassant, en te goûtant de ma langue.
Ton corps ne bouge plus, plus d’ondulation, plus rien, presque une apnée. Tu ne sais pas ce que je veux, tu te demandes où je vais stopper ma course, tu vas le savoir bientôt.
Je bouge un peu, je vais plus bas, ma langue touche tes replis les plus cachés, tu sursautes mais me laisses faire, notre confiance mutuelle montre ses effets, tu te donnes.
Je reste là quelques secondes, juste à t’effleurer, tu as retrouvé ta respiration, elle est même rapide, tu gémis un peu, ton bassin bouge à nouveau.
J’arrête mon supplice, je ne sais pas si s’en est un. Si c’en est un, est-ce un supplice parce que je te gêne, ou est-ce un supplice car tu aurais voulu plus, je ne le saurai ...