Ivresse
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
tutu,
volupté,
Auteur: Chineurs5, Source: Revebebe
... observation nocturne et divinement savoureuse.
Tu as un pull blanc à grosses mailles, et rien en dessous, je l’ai deviné. Le fait de savoir que la pointe de tes seins se frotte à la laine à chacun de tes mouvements m’étourdit un peu. Et comme je connais bien ta poitrine, j’imagine, sans le savoir vraiment, que parfois cela doit te procurer de petits plaisirs, que parfois cette caresse juste au bout de toi te fait peut-être frémir. J’imagine juste, je ne le sais pas, un jour je te poserai la question.
Je choisis de faire tiédir la tarte, juste un peu. Je prépare les assiettes.
Pendant que je m’occupe du dessert, tu décides d’aller chercher quelques bûches car le feu semble vraiment en avoir besoin. Malgré la neige qui tombe à nouveau et mes recommandations, tu ne mets rien de plus, tu vas avoir froid.
En passant près de moi, ta main caresse mes fesses au travers de mon pantalon. Cela me rappelle une certaine première fois.
Tu sors, munie du panier à bûches. Le chien se lève et va jusqu’à la porte, lui aussi veille sur toi, il ne se recouchera que si tu réapparais. J’ai maintenant formé les quatre boules de glace et les parts de tarte vont être tièdes. Lorsque tu reviendras tout sera prêt. La neige tombe de plus belle.
Trois minutes ont passé et te revoilà, je t’attendais pour attaquer mon œuvre.
Évidement tu as froid, ton pull est encore plein de flocons. Je prends le panier et mets rapidement 3 bûches pas trop grosses au milieu du feu afin que les ...
... flammes grandissent vite.
Je viens vers toi et m’aperçois que tu trembles, j’avais raison, tu aurais dû te couvrir. Je m’approche pour te prendre dans mes bras, et là je vois bien que ton pull ne s’en remettra pas de sitôt, les flocons ont fondu et il est pratiquement trempé.
Je prends ta main et te tire vers la cheminée où les flammes sont déjà d’une hauteur tout à fait convenable, elles vont réchauffer ton corps. À quelques dizaines de centimètres du foyer je sens sa chaleur, je veux t’en faire profiter, mais ce pull est trop mouillé, je décide de te l’enlever.
Docile, avec une grande envie que je m’occupe de toi, tu me laisses faire. Tu es même complice quand tu lèves tes bras pour que je puisse te déshabiller sans encombre. Je m’écarte un peu pour le poser sur le dossier d’une chaise, près de la cheminée, il ne faudra pas longtemps pour qu’il soit sec.
Je me retourne pour venir te frictionner. Tu es là, debout, à m’attendre. Tes petits seins pointent vers moi, est-ce le froid, le frottement du pull que je viens d’enlever, ou peut-être le fait de te voir ainsi offerte, toujours est-il que tes petites framboises sont de sortie, tout en éveil. Très sensuelle, ma Céline à moitié nue devant la cheminée.
Je viens te frictionner mais tu sembles déjà avoir oublié le froid et je vois bien que ce n’est pas de gestes rapides dont ton corps à besoin.
Je t’enlace et me presse contre toi. Les flammes ont rendu ton dos brûlant, la chaleur qu’elles dégagent est venue lécher ...