1. Ivresse


    Datte: 06/04/2018, Catégories: fh, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, tutu, volupté, Auteur: Chineurs5, Source: Revebebe

    ... dominer.
    
    Souvent je pense aux gens qui voient cet endroit de toi, dans la rue, au travail, ailleurs. S’ils savaient que juste un effleurement, là, se répercute automatiquement jusqu’au plus profond de toi, que juste un souffle, ici, fait que tes reins peuvent se mettre à bouger et ton sexe se mettre à mouiller.
    
    Tu es d’une sensualité qui tend à la provocation. Mais je te rassure, uniquement de la provocation à mon encontre, puisque les autres ne savent rien de toi.
    
    Que de plaisirs à vivre avec toi ma chérie.
    
    Mes mains sont chaudes, elles contournent ton bassin pour aller empaumer tes seins. Je les serre un peu, relâche ma pression, les frôle sur toutes leurs courbes, irrite un peu leur partie la plus sensible. Ta tête est appuyée sur tes avant-bras, que tu as mis sur la poutre de la cheminée. Tu ne bouges pas, tu laisses le plaisir t’envahir doucement, je sais que tu attends plus.
    
    Mes mains descendent, ne s’arrêtent pas sur ton ventre mais sur la ceinture de ton pantalon, tu as un léger mouvement de protestation que je jugule rapidement en plaquant mon bas ventre contre tes fesses, juste pour que tu saches que je décide de ce qui va arriver. De toute façon je sais bien que c’est exactement ce que tu souhaites et que cette protestation n’est que de pure forme. Tu veux que je te prenne, je vais le faire car je te veux très fort aussi, je dois même avouer qu’attendre pour te prendre est un supplice, mais je ne veux pas te donner ce plaisir-là, je cède trop ...
    ... souvent à mon désir. Aujourd’hui c’est mon esprit qui décide, pas mon corps. Enfin, je sais bien qu’à un instant je vais perdre le contrôle de la situation, mais je veux retarder ce moment.
    
    Je défais le bouton, baisse la fermeture éclair, passe ma main sur ta culotte pour faire pression sur ton sexe. Je vais assez bas, là où tu n’a plus qu’un fin rempart de tissu qui te protège d’une pénétration de mon doigt. Tu l’accueilles chaleureusement, humidement, et avec un petit gémissement, sans doute une bouffée de respiration plus profonde que les autres.
    
    Je décide de te mettre nue. Je tire ton pantalon et ta culotte vers tes pieds. Culotte bleue, celle que j’avais juste entr’aperçue à l’hôtel du Berry. Plus de cinq ans ont passé, ce qui me fait penser que je te découvre toujours, que je ne te connais pas encore complètement, que j’ai toujours et encore plus cette envie de te plaire et de m’occuper de toi.
    
    Je suis accroupi à nouveau, je te fais lever un pied après l’autre pour dégager tes vêtements qui m’encombrent. Je te laisse juste tes chaussettes, nue et en chaussettes, vision très sensuelle qui, si je n’arrivais pas à me maîtriser, pourrait faire que je me déshabille en deux secondes pour te prendre debout, comme ça, derrière toi.
    
    J’essaie de me calmer, les flammes donnent à ta peau une couleur chaude et un peu jaune. La première nuit passée avec toi, au Médian, un coucher de soleil tombait sur toi et t’avait mis dans une lumière un peu semblable, je me souviens t’avoir ...
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