Irréparable (Revisiter le Mythe)
Datte: 12/05/2020,
Catégories:
fh,
bizarre,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
nonéro,
Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe
... pieds, comme une offrande pour un sacrifice rituel. On n’attend plus que le vautour qui va se repaître de mes entrailles. Ou c’est tout comme… Et là, ça ne repoussera pas dans la nuit…
Je la sens se pencher sur le côté, s’appuyant d’une main sur ma poitrine, elle m’écrase les côtes. Elle fouille dans son sac quelques instants, puis elle se relève. J’entends un petit claquement et…
— Whaa ! C’est froid !
Je sursaute. Elle vient de verser un liquide qui me paraît glacé directement sur mon sternum.
— Attends un peu, ch’te trouve bien impatient !
Elle rigole presque en le disant. Pas moi.
Elle entreprend de me masser, doucement au début, puis de plus en plus fort… C’est de l’huile ! Je renifle… Non… Elle n’aurait pas osé ? Si ?
— Huile de noisette… Tu aimes ?
Elle n’attend pas ma réponse, pas plus qu’elle ne semble réagir à ma grimace… Me voici donc réduit à l’état de salade !
Elle prend à pleines mains ce que j’ai de poitrine, me plie, me déplie, me malaxe, elle me triture les tétons, tout en recommençant insensiblement son mouvement de hanches. Arg ! Elle est encore en train de s’exciter, sur mes seins cette fois-ci ! On ne me l’avait jamais faite, celle-là !
Elle s’arrête encore et recommence son rite de me verser de l’huile sur le corps. Je sursaute moins, cette fois-ci.
Beurk… En plus, ça pue, son truc !
Elle recommence à me masser, à appliquer son huile parfumée jusqu’à mon aine. Son souffle s’accélère, elle est encore en train de ...
... s’exciter sur moi. C’est dégueu. Elle est en train de mélanger son jus de femme avec la noisette sur mon ventre, c’est tout poisseux, ça fait un bruit de clapot, sans le son de la houle. Et c’est sans parler de l’odeur écœurante de ses sucs intimes mélangés avec… Il ne manque plus que le vinaigre de framboise !
Son rythme s’accélère. Elle est littéralement en train de me baiser le ventre. Elle attrape ma queue d’une main, comme pour s’y retenir dans sa chevauchée, de l’autre main elle se retient à mon épaule. Elle expire plus qu’elle n’inspire, j’entends ses seins qui battent contre sa poitrine – et j’en déduis qu’ils sont plutôt volumineux pour produire un son pareil.
Elle est en train de me sautiller dessus, frénétiquement, de plus en plus vite. Je grimace. Je ne bronche pas. J’essaie d’amortir du mieux que je peux son mouvement pour éviter de me taillader les reins avec les menottes. Chaque rebond me fait frissonner de douleur, sous la ceinture, mes yeux se crispent, la boucle appuie douloureusement sur ma tempe…
Au bout de quelques minutes qui me semblent une éternité, elle est collée à mon ventre et elle ondule contre les restes de mes restes d’abdominaux dissimulés sous ma bedaine, elle se presse autant qu’elle peut. Elle couine, elle halète, elle a pris son plaisir sur moi. Et moi, j’ai la tête ailleurs. Mon seul souci est de limiter les dégâts, la douleur… Dans mon dos, ma chair est à vif, elle continue sa reptation sur mon ventre, comme une limace sur une ...