1. Irréparable (Revisiter le Mythe)


    Datte: 12/05/2020, Catégories: fh, bizarre, fdomine, humilié(e), contrainte, pénétratio, attache, yeuxbandés, nonéro, Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe

    ... salade.
    
    Avec cette odeur d’huile et de « jus de femme » mélangés qui révoltent mon estomac, j’en ai envie de vomir…
    
    Maintenant que mon sexe a pris une taille d’usage, qu’il est nettement plus rigide, je sens un peu moins qu’elle est en train de me le broyer à mains nues. Juste un peu moins.
    
    À nouveau, elle se tétanise, crispe ses mains sur mes épaules, tout en continuant doucement à ondoyer du bassin. Cette fois-ci, elle se laisse tomber sur moi. Je sens sa poitrine opulente se presser contre la mienne, elle laisse glisser ses coudes contre mon cou. Elle soupire, sa respiration redevient de plus en plus régulière, elle reprend des forces, pour la suite…
    
    Bien trop vite à mon goût. Avant que je n’aie pu prendre la moindre initiative pour esquiver, elle se redresse, pose ses mains sur ma poitrine, et reste ainsi quelques secondes. Elle m’écrase la cage thoracique, j’arrête de respirer. Puis, en appui sur les mains, elle passe une jambe de l’autre côté de mon corps. J’en profite pour bouger les poignets sous moi de manière à ce que les menottes cessent de m’entailler les flancs.
    
    Elle pose sa main sur ma joue, et commence à me caresser le visage, du bout des doigts, elle souligne le contour de mes lèvres, glisse une phalange dans ma bouche, deux… Sans chercher à réfléchir, je l’aspire, je le tète. De l’habitude, de l’inconscience ? Je me sens un peu moins mal à l’aise. Et elle a l’air d’apprécier ça… Je crois.
    
    Elle continue un long moment à me caresser le ...
    ... visage, à jouer avec ma bouche, ma langue, mes lèvres, à dessiner le contour de mon nez, de mes orbites. Sa respiration s’apaise. Je sens qu’elle me regarde, allongée sur le côté. Elle semble se calmer, et moi aussi. C’est ce que je voudrais croire…
    
    Soudain, sans prévenir, elle bondit, se place à califourchon sur mon visage. Elle serre ma tête entre ses cuisses et, comme une furie, elle me crie :
    
    — Lèche-moi ! Lèche-moi ! Allez, bouffe-moi la chatte comme tu lui as fait à elle !
    
    Elle écrase son sexe contre mon nez, ma bouche et se frotte de toutes ses forces, de tout son poids. L’odeur d’huile de noisette est affreuse, mon estomac se révolte, je manque de vomir. Je serre les dents, je crispe les mâchoires. Ça suffit, à la fin !
    
    Elle s’immobilise bien vite.
    
    — Tu vas me lécher, oui ?! hurle-t-elle, hors d’elle.
    
    Puis, se ravisant, elle susurre doucement en se penchant sur mon oreille :
    
    — Ou tu vas le regretter, j’te jure…
    
    Je ne réagis pas. Elle se redresse, fait glisser ses mains sur mon torse, elle se relève un peu. Je prends une forte inspiration. Ouf, je respire… Elle continue à avancer les mains sur mes cuisses, je sens ses cheveux longs qui brossent mon pubis. Elle ne peut pas me forcer à faire ce que je ne veux pas faire, ah, ça, non !
    
    Enfin… Je crois. J’ose l’espérer, j’essaie de m’en convaincre…
    
    Ses mains descendent dans le creux de mon entrejambe, tout doucement, elle commence à caresser doucement mon scrotum glabre, je sens son souffle chaud sur ...
«12...678...11»