Irréparable (Revisiter le Mythe)
Datte: 12/05/2020,
Catégories:
fh,
bizarre,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
nonéro,
Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe
... une force de camionneur ! Elle me secoue sans ménagement. J’ai la sale impression de n’être qu’un bout de viande pour elle…
Dans l’espoir d’éviter de trop souffrir de cette manipulation, je donne un coup de hanche qui se veut vigoureux, me voici demi-retourné, une autre impulsion, me voici sur le dos… Je hurle de douleur :
— Aaaah !
Mes mains sont écrasées sous moi, mes épaules me lancent, et les menottes me meurtrissent les lombaires. C’est encore tôt pour le dire, mais… j’ai mal.
— Oh, la chochotte… persifle-t-elle en s’affairant sur la boucle de ma ceinture. À poil ! poursuit-elle d’un ton réjoui. On va voir ce que tu caches là-dessous…
Bien malgré moi, ses activités lubriques sur mes mains ne m’ont pas laissé complètement « froid », et je sais d’avance qu’elle va trouver bien plus qu’une gamba derrière ma braguette…
Elle arrache le premier bouton de mon jean, se saisit des pans et tire d’un coup sec pour défaire tous les autres boutons. La donzelle a de la pratique…
En tirant mon falzar jusqu’aux hanches, elle recommence à causer, d’une voix grave, rauque, avec une intonation comme pleine de reproches et de regrets :
— Ch’te vois souvent t’balader à poil dans ton appart’… Ch’te vois quand tu t’branles sur ton lit ou d’vant ton ordi… Ch’t’ai vu quand cette grosse salope t’a sucé la queue dans l’salon en s’touchant… Comment elle beuglait comme une sale chienne quand tu lui bouffais la chatte… P’tain, ch’pouvais presque l’entendre…
Voyant la ...
... demi-bosse dans mon slip, elle s’exclame, avec une pointe de déception dans la voix :
— P’tain, c’est tout l’effet qu’ça t’fait ? P’tain, j’m’attendais pas à Rocco, mais quand même, ch’pensais…
D’une main, elle tire sur l’élastique de mon calebard, met l’autre main dedans, à la recherche de mon membre encore trop endormi à son goût. Le trouvant malgré tout sans peine, elle s’en saisit et le secoue vigoureusement.
Ma réaction est aussi immédiate qu’involontaire : je me raidis. Ou plutôt, cette partie de moi se redresse… Assez fièrement, je dois dire, d’ailleurs, de ce que je peux en sentir. D’une voix réjouie, elle s’exclame :
— Oh, mais il faisait dodo, le petit !
J’y crois pas ! Elle parle à ma teub’ ! Et moi, je suis quoi ? Du mou de veau ? C’est à croire…
Elle lâche l’élastique.Clac ! Ce cri-ci, j’arrive à l’étouffer. Elle agrippe les bords de mon slip et le fait descendre avec le pantalon jusqu’aux chevilles.
— Maintenant, c’est mon tour… dit-elle, sur un ton gourmand.
— Aaaaah !
Elle vient de se laisser tomber sur mon ventre. J’ai l’impression que les menottes me tranchent le dos. J’ai l’impression que mes poignets sont brisés tant ils me font souffrir. Elle retrousse mon T-shirt, qui veut résister au passage. Tant pis pour lui… Elle glisse ses mains dans mon dos, se saisit à pleines mains de mon vêtement et tire sèchement.
Craac ! Trop facilement, mon maillot cède. Elle finit de le déchirer d’un mouvement ample. Je suis torse nu, le futal aux ...