1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... chevilles au galbe parfait. Cette position semi-étendue remontait sa poitrine, dénudant deux mamelons laiteux. Il crut même, à l’aune d’un mouvement, apercevoir un brun tétin. Madame la marquise, un summum d’érotisme. Cependant, il débanda vite car pendant l’heure qui suivit, elle le soumit à la question. Tout y passa, sa situation, ses revenus, son hygiène de vie jusqu’à sa religion et ses tendances sexuelles. Quand l’interview dérapa, Maxime s’étonna. Elle lui rétorqua qu’elle ne pouvait louer cette maison à n’importe qui, sous-entendu à quelque pervers sexuel, homosexuel de surcroît. Maxime la rassura sur la parfaite normalité de ses tendances. Par défi, n’ayant à cette minute aucune envie de voir une nana, il demanda :
    
    — J’espère quand même que recevoir mon amie, avec un « e », n’est pas une clause excluante ?
    — Si « elle » s’accommode de la maison, cela m’importe peu, tout du moins personnellement, répondit-elle de manière sibylline. Que diantre, nous sommes au XXIème siècle. Si vous saviez, mon jeune ami, combien de coquins mon aïeule a reçu en ces lieux. Il est vrai que, elle, avait un époux.
    — Le fait d’être marié change quelque chose à la chose ? ne put-il s’empêcher d’ironiser.
    — Cela change tout ! Toute la différence entre une femme honnête et une demi-mondaine !
    
    Il dut se retenir pour ne pas éclater de rire. Il eut envie de lui demander « Une veuve, elle entre dans quelle catégorie ? » mais il n’osa pas, cette nana l’impressionnait. Ils ne jouaient pas ...
    ... dans la même cour, et malgré sa tenue et sa gestuelle, pure incitation au viol, il ne se permit pas le moindre dérapage. L’entretien dut être concluant car elle lui proposa de visiter la maison avant de signer le bail. Il refusa prétextant qu’il était enchanté de ce qu’il avait vu et qu’il préfèrerait découvrir le reste seul. Il avait réellement besoin de cette maison et il avait peur de commettre un impair s’il devait grimper les escaliers derrière ce postérieur affolant.
    
    Elle tint, cependant, à lui monter la chambre qui jouxtait le boudoir. Il resta sur le pas de la porte pendant que madame la marquise lui vantait la fermeté du matelas en le tapotant d’une main ferme tandis que son fessier ondoyait sous le regard hypnotisé de Maxime lui donnant un spectacle assez croquignol. Il avait déjà eu affaire à des allumeuses, mais comme celle-là jamais. En bon pilote, il garda son sang-froid et ne s’autorisa aucune figure libre, aucun looping.
    
    Ils signèrent sur le champ et Maxime, le soir même, emménageait dans la maison.
    
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    Allongé sur le lit, à même le matelas, engoncé dans un sac de couchage qu’Albert lui avait prêté, Maxime contemplait le plafond étoilé de sa chambre. En visitant l’étage, il avait flashé sur une pièce plus petite, plus intime qui lui avait fait immédiatement penser à Louis II de Bavière. Les tapisseries aux teintes bleu-nuit surannées, le plafond voûte céleste pouvaient paraître sinistres mais malgré cela il s’en dégageait une impression de ...
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