Un amour... de maison
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... cinquantaine ! Quant à son look ! Elle lui fit penser à l’actrice brune qui donnait la réplique à Marylin dansLes hommes préfèrent les blondes. À dix heures du mat, elle portait une longue robe de soirée noire qui moulait une silhouette intéressante. Un décolleté à la limite de la décence mettait en valeur une poitrine au volume plus qu’appréciable. Maxime avait du mal à détacher ses yeux d’icelle. Son hôte le rappela à l’ordre.
— Bonjour Monsieur, mon avant-scène semble vous passionner ! minauda-t-elle en lui tendant la main… à baiser. Monsieur Maxime Ortel, je présume. Vous êtes ici pour visiter la maison.
— Je suis confus, Madame…
— Madame la marquise, monsieur l’impudent. Adrénaline, marquise de Saint-Vit, propriétaire de cette gentilhommière.
— Excusez ma surprise, Madame la marquise… Je ne m’attendais pas… Vous êtes époustouflante.
— Et vous un galant homme ! À la tournure assez plaisante, malgré votre méconnaissance des bonnes manières ! Je retiens les deux points en votre faveur ! Suivez-moi jeune homme. Allons dans le boudoir, nous pourrons bavarder.
La suivre ! Quand il arriva dans le « boudoir » de madame la marquise, Maxime, pour parler vulgairement, avait la trique. Les ondulations évocatrices/provocatrices du postérieur dont la texture soyeuse de la robe soulignait chaque mouvement auraient réveillé un mort. La tension de l’étoffe sur les chairs révélait plus son anatomie que si elle avait été nue. En outre, madame la marquise, fidèle à son rang, ne ...
... portait pas un string mais une culotte. On en devinait les contours. Ce qui avait fait monter la température extérieure de Maxime de quelques degrés et rallonger son appendice ventral de quelques centimètres.
Pour se donner une contenance et faire rentrer son V2 à la niche, il observa l’agencement de la pièce en attendant que sa future logeuse lui fît signe de s’asseoir. Maxime se sentit ramené au début du siècle précédent. La pièce était à la fois sinistre et accueillante. Sinistres, les tapisseries en velours dont les tons « chêne pas clair » éclairées par une seule ouverture en partie masquée par de sombres tentures, contrastaient avec les couleurs lavande de l’ameublement minimaliste : deux fauteuils pas vraiment accueillants, un Récamier et un petit secrétaire d’époque indéterminée face à la fenêtre. Seul anachronisme, un écran plat mural très high-tech.
— Prenez place, mon cher !
Elle lui désigna un des fauteuils. Tandis qu’il prenait place, elle continua :
— Votre étonnement ne me surprend guère, mais sachez que je tiens à conserver cette demeure dans l’état où ma divine aïeule me l’a confiée. Sachez, mon jeune ami, que sans elle, il n’y aurait que marais en ce lieu !
Ouille ouille ! La mamie lui faisait un cours. Maxime écoutait d’une oreille distraite. Enfin elle s’assit, ou plutôts’allongeassit sur le sofa, la pointe de ses talons touchant à peine le sol. L’étoffe de sa robe étirée au maximum épousait étroitement ses formes épanouies, découvrant deux ...