1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... puisqu’elle descendait jusqu’à ses chevilles, osée car un décolleté savant découvrait sans vraiment les montrer deux jolis oiseaux très, très bien nourris et impudiques : la transparence de l’étoffe à la lumière laissait deviner chaque ligne de son anatomie et la sombre noirceur de son triangle intime. La dame ne devait pas s’exposer au soleil : le gommage du maquillage révélait une peau d’une blancheur laiteuse.
    
    — Ne me regardez pas comme ça, mon jeune ami ! Éteignez plutôt cette lumière, que la pénombre cache des ans l’irréparable outrage !
    — Arrêtez de dire des bêtises, Madame la comtesse…
    — Marquise, seulement, mon jeune ami ! le coupa-t-elle.
    — Marquise, duchesse, comtesse ! Rien à fiche ! Vous êtes une femme magnifique qui mérite la lumière, pas l’obscurité !
    — Vous mentez, mon jeune étalon ! Mais vous mentez si bien, susurra-t-elle en se glissant entre ses bras. Et avec un si joli mandrin…
    
    Comme par magie (mais peut-être était-ce simplement la chambrière qui avait éteint) la volonté de la marquise s’exerça : les appliques s’éteignirent, laissant la pièce uniquement éclairée par les rayons lunaires. Sidonie avait déjà repris les choses en main : le membre momentanément ramolli par l’attente retrouvait toute sa vigueur, et Maxime son esprit d’initiative. Il mena une attaque éclair contre le déshabillé qui se retrouva chiffonné au fond du lit.
    
    — Quelle fougue, mon ami ! À quoi bon que je portasse des fanfreluches pour aiguiser votre appétit ?
    
    Sa bouche ...
    ... partait à l’assaut de l’opulente poitrine enfin libérée de toute contrainte. Sa main droite s’insinuait entre deux cuisses charnues qui se rendirent sans résistance et lui ouvrirent le passage menant au saint des saints broussailleux. Pour ne pas rester inactive, sa main gauche malaxait une fesse encore très ferme. Il tétait les tétons tendus tel un nouveau-né affamé, passant de l’un à l’autre avec délectation. Le noble bouton d’amour, emprisonné entre deux doigts, coulissait, suscitant des soupirs énamourés de la dame. Icelle, très joueuse, ajustait le rythme de sa main sur la bite de Maxime à celui des doigts de l’homme. Voulant profiter de cette concordance, Maxime accéléra. Mais la marquise connaissait trop les hommes. Elle rompit tout contact.
    
    — Auriez-vous un rendez-vous urgent ?
    — Quoi ?
    — Vous me semblez excessivement pressé d’en finir !
    — Mais j’ai toute la nuit !
    — Alors allongez-vous sur le dos et laissez-vous faire.
    
    Cette voix le subjuguait totalement : il s’exécuta. La jeune femme entreprit un léchouillage/caressage en règle. Nulle partie de son corps n’y échappa. Entamé au bout des pieds, il s’arrêta à la hauteur des oreilles. Bien évidemment, certaines parties retinrent plus l’attention que d’autres. Ainsi s’occupa-t-elle de son pénis comme jamais on ne s’en était occupé. De petits coups de langue appliqués à des endroits stratégiques l’amenèrent au bord de l’extase sans jamais l’atteindre. Alors qu’ingénument elle frottait sa touffe contre sa cuisse, ...
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