1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... leva son verre et le vida cul-sec. La vieille reprit la parole :
    
    — Qui suis-je ? Je suis votre propriétaire, Sidonie-Gabrielle de Saint-Vit, veuve du marquis Donatien de Saint-Vit, mort héroïquement en défendant son pays.
    — Mais…
    — « branlez… » continua-t-elle sans tenir compte de l’interruption. Je trouve ce terme excessivement vulgaire, mais si vous pensez masturbation, je ne me suis pas contentée de vous masturber et vous avez apprécié à en souiller les draps, my dear !
    
    Ne parvenant pas à retrouver son sang-froid, Maxime se raccrocha à la dernière parole audible de sa vis-à-vi…t :
    
    — La propriétaire ? Je croyais que la propriétaire était…
    — Adrénaline ? Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit, mon jeune ami. Elle en est tout juste la gardienne.
    — Ah bon ! Cela n’explique pas ce que vous faîtes là. J’ai un bail en bon uniforme !
    — Vous occupez les lieux ! Vous êtes mon hôte en quelque sorte ! Mais ne soyez donc pas si matérialiste, mon jeune ami ! Vous avez besoin de vous détendre. Laissez-vous aller à la douceur du moment. Avez-vous apprécié ce petit cru ? 1921 était une excellente année. Nestor !
    
    Le larbin remplit les verres. Peu à peu Maxime lâchait prise. La voix mélodieuse de son interlocutrice avait sur lui un effet hypnotique (à moins que ce fût le vin qu’il avait bu trop vite !). Ce n’était qu’un rêve, alors autant en profiter. Surtout que la vieille, sans doute sous l’effet du second verre, lui semblait moins rebutante. Les mets se révélaient ...
    ... délicieux ; Nestor, en maître d’hôtel zélé, ne laissait jamais son verre vide. Aussi lorsqu’arriva le dessert, Maxime était légèrement pompette et ne se posait plus de questions. Il avait bien conscience que la vieille (peut-on traiter de vieille une quinquagénaire avec une telle plastique) lui tirait les vers du nez. Elle ne devait plus ignorer grand-chose de sa vie alors que lui-même n’avait pas appris grand-chose, mais il n’était pas sûr d’en avoir envie.
    
    Sur son invite, ils gagnèrent le boudoir où ils s‘installèrent tout naturellement sur le Récamier. Nestor apporta une bouteille de fine Napoléon et une boîte de cigares. Après avoir servi, il fut congédié.
    
    — Enfin seuls. Ah, si ce sofa pouvait parler, il vous ferait rougir, mon jeune ami ! Mais il n’avait jamais été traité comme vous l’avez traité avec votre catin, l’autre soir.
    — Co… comment…
    — C’est oublié. Prenez un cigare. Ils sont excellents. Mon défunt mari, le marquis, les faisaient venir directement de Cuba.
    
    Il avait bien mangé, bien bu. Un bon cigare, surtout virtuel, ne pouvait lui faire de mal. Il en alluma un.
    
    — Je ne fume pas, mon bon, mais le marquis adorait, pendant qu’il fumait son Havane, que je lui fasse une gâterie, soupira la marquise en lui dégrafant adroitement la braguette et en extrayant un sexe tout mou.
    — …
    — J’espère que vous allez réagir, mon bon, car votre étendard a piteuse allure ! Je l’ai déjà vu plus fier.
    
    Les lèvres de la dame épousant parfaitement les contours du gland ...
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