1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... », où les araignées pouvaient tisser des toiles au gré de leur imagination, étincelait de propreté. Quelqu’un avait fait le ménage, avait chassé le moindre grain de poussière du sol au plafond. Les boiseries avaient retrouvé l’aspect du neuf. Sidérant !
    
    Il n’était pas au bout de ses surprises. D’où il se tenait, il ne put ignorer que la table était dressée, illuminée qu’elle était par trois grands chandeliers. Il s’avança dans la pièce et à nouveau se figea. Il n’était pas seul. À l’extrémité de la table, une vieille dame à la tenue altière, d’un geste négligeant de son face-à-main lui faisait signe de s’approcher. Ses fringues de lady anglaise sortaient directement du musée. Pensée instantanée : mais que faisait Maggie Smith dans cette baraque ? Une Maggie Smith qui avait un je-ne-sais-quoi de familier. Mais déjà la daronne, d’une voix claire, l’interpellait :
    
    — Voyons, Maxime ! Ne soyez pas si timide ! Approchez !
    
    La voix aussi éveillait un souvenir.
    
    — Euh… Euh…
    
    Ce fut tout ce qu’il parvint à dire. Mais il obéit !
    
    — Ne faites pas ces yeux de merlan frit ! On croirait mon défunt mari (paix à son âme) lorsqu’il m’a surprise à faire une gâterie à son chauffeur.
    — Euh… Euh…
    — Quand vous aurez fini d’imiter – plutôt mal – un de ces monstres d’acier crachant le feu que le diable nous a envoyés, daignerez-vous vous asseoir ? Nestor a beau être à notre service, ce n’est pas une raison pour le faire lanterner.
    
    En effet, le maître d’hôtel se tenait derrière ...
    ... une chaise, attendant que Maxime prenne place. Tel un automate, il s’installa. Lui qui était connu pour sa gouaille et son sens de la répartie, comme la cigale se trouvait totalement démuni. Quand il se reprit et demanda des explications, la vieille levait son verre, le tendait vers lui pour un toast.
    
    — À nous, Maxime ! Aux riches et chaudes heures qui nous attendent.
    
    Baissant les yeux, il vit que Nestor avait rempli son verre. L’instant de stupeur était passé. Maxime apostropha la mamie :
    
    — C’est quoi l’histoire ? Vous êtes qui ? Et d’abord qu’est-ce que vous branlez dans ma maison ?
    — Je vous prierai, mon jeune ami, de me parler sur un autre ton. Quel drôle de langage. Mon défunt mari (paix à son âme) n’aurait jamais toléré d’aucun de mes amants de tels écarts. Mais je comprends votre surprise et vais, après que nous ayons porté ce toast, répondre à vos questions.
    
    Elle leva son verre :
    
    — À l’amour !
    
    OMG ! Mais c’est bien sûr, cette voix ! Maxime ne la connaissait que trop ! Son rêve si réel ! Ça tournait au cauchemar ! C’est ça, il s’était endormi, il rêvait… elle allait se lever, se transformer en jeune femme sexy et l’amener au septième siècle. Déjà sa bite se trouvait à l’étroit. Cette voix aurait fait bander un moine. Bander un moine, il avait l’impression de se répéter. La rombière le ramena à la réalité.
    
    — Quand vous aurez fini de rêvasser nous pourrons trinquer. Vous vous êtes fait attendre et je suis affamée.
    
    Ne sachant trop que faire, Maxime ...
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