La quête du sein gras
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
collection,
nonéro,
articles,
Auteur: Fredelatorsion, Source: Revebebe
... courage de la fille mais ne le prisa guère. En fait de baume il ne trouva dans sa salle de bain qu’un lait hydratant, mais il fit l’affaire. Puis il entoura tendrement sa copine pour lui faire oublier ses misères, s’épuisant en elle jusqu’à finir en quenouille devant sa fleur saccagée.
Il la revoit encore s’étirer comme une grosse chatte, esquissant un léger massage de son bijou, comme pour tout bien remettre en place. En dépit de ses douces protestations, et encore qu’elle le rassurât en l’assurant qu’il avait assuré, il n’en continua pas moins de la consoler de son malheur, jouant longuement et intensément des lèvres et de la langue jusqu’à ce qu’elle crie grâce, le regard brouillé, les cheveux collés au front, les traits tirés. Ça, en revanche, c’était un genre de supplice qu’il aimait infliger aux femmes… quand elles se laissaient faire. Mais celle-ci appartenait à cette sorte de filles douces et vulnérables qui ne vous refusent jamais rien.
Sachant désormais à quoi s’en tenir, il en revint à des coups de dents plus modestes qu’il lui dosa savamment, abandonnant radicalement l’idée de s’en prendre à son imposante mais tendre laiterie… Il la quitta pour une plus belle et s’en mordit bientôt les doigts. Quand il voulut revenir, un autre avait commencé à tendrement la supplicier, qui se la garda précieusement.
Bref, une femme ventrue avec une grosse bouille a perdu une bataille… si elle n’a perdu la guerre, tandis que pour une taille et un poids absolument ...
... identiques, sa voisine va pouvoir jouer les tombeuses, aussi vrai que dans l’expression plaisirs de la chair, il y a le mot chair. En réalité, le désir purement physique qu’on peut avoir de toucher un corps est imputable à la conformation et à la répartition, plutôt qu’à la masse et au volume brut. Il vaut donc mieux travailler le corps féminin pour le sculpter, autant que faire se peut, que l’exténuer en privations imbéciles. Si la minceur est gage de santé, elle n’a que peu à voir avec la séduction.
Étant étudiant, Wilfried avait un super boulot d’été. C’est sûr, il fallait être sérieux, travailler le plus souvent la nuit, mais ça lui plaisait vraiment. Avant d’attaquer, il devait passer à la cabine et se signaler au chef. En face, il y avait un bureau où, dans la journée, travaillaient huit ou dix femmes de tous âges.
Il a encore devant les yeux celle qui l’a fait vibrer et n’en aura jamais rien su. Elle porte une alliance. Quel âge peut-elle avoir ? 35 ans ? 37 peut-être ? Sans doute a-t-elle des enfants. Féminine et soignée jusqu’au bout des ongles des orteils, grand gabarit, forte charpente, cheveux aile-de-corbeau d’une propreté méticuleuse et qui descendent en boucles souples et brillantes, sourire avenant, regard noir, pommettes hautes, lèvres charnues, une bonne poitrine et un cul d’enfer. En vérité, quelle superbe plante !
Un soir, elle rentre du travail et il va prendre son service ; il s’arrange pour la suivre à six ou huit mètres de distance, le long des voies ...