55.1 Les envies de Jérém (troisième du nom).
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... jouissif.
« Oh, oui… autant que tu veux… ».
Sa musculature puissante domine mon corps, sa raideur masculine titille mon ti trou, son souffle chaud brûle ma nuque et mes oreilles : il me fait languir. Et il me rend dingue ; envie de lui faire des choses de dingue ; envie de lui dire des choses de dingue :
« Je veux être envahi par ta queue, j’ai envie de te sentir passer, j’ai envie de te sentir en train de me tringler… j’ai envie de te sentir prendre ton pied de mec… ».
« T’as faim de ma queue… ».
« J’ai la dalle… j’en ai besoin… ».
« Ça fait à peine deux jours que je t’ai baisé… ».
« Tu peux pas savoir comment c’est long… ».
« T’es déjà en manque ? ».
« Vas-y, prends-moi ! » je coupe court.
Le bogoss se relève, il saisit à nouveau mes fesses, il les écarte à fond.
« T’aimes ça… » fait le bogoss en visant ma rondelle avec son gland.
« J’adore ça… parce que c’est toi ! ».
« Ah ouaisss… » il me retorque, alors que la pression de son gland se fait de plus en plus forte.
« Tu fais ça comme un Dieu… ».
Et là, je sens mes chairs se détendre sous l’effet de la présence du mâle qui se presse pour faire valoir ses droits. Le bogoss me pénètre lentement ; son gland glisse en moi, sa queue m’empale, me remplit, me possède.
« C’est de ça que t’as envie ? ».
« Oui, tu me rends fou… ».
Le bogoss s’abandonne sur mon dos et commence à coulisser en moi, tout en recommençant illico à mordiller mon oreille. J’ai gardé le débardeur blanc ...
... pour lui faire plaisir, je ne vais pas le regretter ; ses doigts jouent avec, glissent dessus, se faufilent dessous, jouent avec mes tétons.
« Elle est bonne ma queue ? ».
« Si tu savais… tu peux même pas imaginer comment tu me fais mouiller… ».
« Oh si j’imagine bien… ».
« Non, je te promets… vas-y, touche… tu vas voir l’effet que tu me fais… ».
« Oh putain, c’est trempé ! » il s’exclame, alors que sa main vient de saisir ma queue.
« Voilà l’effet que tu me fais ! ».
Mais déjà ses mains attrapent mes hanches, m’obligeant à me mettre à quatre pattes, sans même que sa queue quitte ma rondelle. Le bogoss recommence à me limer avec puissance ; ses deux mains saisissent fermement mes épaules, ses biceps travaillent pour donner de l’appui à ses coups de reins, ses va-et-vient sont comme des coups de bélier assenés avec l’intention de s’enfoncer de plus en plus profondément en moi. Son gland recule jusqu’au au bord de ma rondelle ; puis, il s’enfonce à nouveau, rapidement, sa queue glisse jusqu’à la garde. Bonheur absolu de sentir ses cuisses claquer contre mes cuisses, ses couilles frapper lourdement mon entrejambe et mes couilles à moi.
« J’adore quand tu fais ça… » je ne peux m’empêcher de laisser échapper, presque dans un état second.
« De quoi ? ».
« Quand tes couilles claquent bien contre mon entrejambe… ».
« Ah ouaissss… ».
Et là, le bogoss y va carrément franco, ses coups de reins se font plus rapides, ses coups de boules encore plus ...