1. 55.1 Les envies de Jérém (troisième du nom).


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... montre-moi dans quelle position t’as envie d’être à moi… ».
    
    Une bonne étincelle lubrique brille et brûle dans son regard brun. Non seulement le bogoss est partant, mais il me demande de quoi j’ai envie. Fabuleux.
    
    Je me relève, je m’allonge sur le lit, sur mon dos et je lui lance :
    
    « Viens… ».
    
    Je le regarde approcher, monter sur le lit, se faufiler entre mes jambes.
    
    « Viens sur moi… ».
    
    Jérém semble d’abord hésiter ; puis, il finit par s’allonger sur moi, et son bassin glisse sur le mien, sa queue frôle la mienne. En appui sur ses bras, les mains plantées sur le matelas d’une part et d’autre de ma tête, sa chaînette pendouillant au-dessus de mes pecs, le bobrun me regarde droit dans les yeux.
    
    « Tu veux que je te prenne comme ça ? ».
    
    « Allonge-toi, j’ai envie de te sentir contre moi… ».
    
    Jérém semble s’impatienter, se moquer de ce que je lui demande. Pourtant, il finit par fermer les yeux et se laisser glisser complètement sur moi, son torse épousant lentement le mien.
    
    Je porte une main dans son dos, je le serre fort contre moi, je porte l’autre sur son cou ; petit à petit, je sens sa tête glisser dans le creux de mon épaule. Je pose des bisous dans son cou.
    
    « Je suis tellement bien là… » je lui chuchote à l’oreille.
    
    « Je croyais que tu voulais te faire défoncer… ».
    
    « Aussi… mais c’est tellement bon de te sentir contre moi… ».
    
    « Ouaisss… mais moi je ne suis pas venu pour enfiler des perles… ».
    
    Et là, en joignant le geste à la ...
    ... parole, le bogoss se relève ; il attrape mes chevilles, écarte mes jambes. J’ai envie de jouer avec lui, avant de jouir avec lui. D’un geste sec, je replie mes genoux : pris par surprise, le bogoss n’a pas l’occasion de contrer mes mouvements, je dégage facilement mes chevilles. Je me retourne, je m’allonge sur le ventre, jambes écartées, prêt à accueillir mon mâle.
    
    « Ah, c’est comme ça que tu veux ? Je croyais que tu kiffais me mater pendant que je te baise… ».
    
    Il n’en faut pas plus pour que je ressente monter en moi une envie décuplée de lui faire plaisir, en lui offrant justement sa position préférée.
    
    « C’est vrai, j’adore ça… mais je sais que tu kiffes mieux en levrette… ».
    
    « Ma foi, c’est pas faux… ».
    
    « Je l'ai bien vu la semaine dernière, quand tu m'as fait ton kif… ».
    
    « T’as aimé mon kif, hein ? ».
    
    « Ah putain, que oui… et toi, t’as aimé le mien ? ».
    
    J’ai tout juste le temps de terminer ma question que déjà la réponse n’a plus d’importance.
    
    Ses mains saisissent mes fesses, les écartent ; sa langue se faufile dans ma raie, elle y glisse franco, elle rencontre mon ti trou, elle fait du forcing très musclé pour s’y insinuer : je sais qu’elle prépare la voie pour l’assaut de son manche. Je frissonne.
    
    « Jérém, j’ai vraiment envie de toi… ».
    
    « C’est de quoi que t’as envie ? » fait le bobrun en s’allongeant sur moi.
    
    « J’ai envie de toi… ».
    
    « T’as envie de te faire tringler ? » il me chuchote à l’oreille, sur un ton libidineux. C’est ...
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