1. 55.1 Les envies de Jérém (troisième du nom).


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... vraiment le top ; le lendemain, j’ai trouvé qu’en fait, le chef d’ouvre absolu c’était le fait d’ôter moi-même le t-shirt de mon bobrun avant l’amour.
    
    En cet instant, je me rends compte qu’il faut que je revienne une nouvelle fois sur mon échelle de valeurs. En fait, je réalise que le meilleur des spectacles, un spectacle tout simplement divin, c’est celui qui s’intitule : « Ouvrir lentement la cravate et la chemise de mon bobrun en vue de l’amour ».
    
    Insatiables, mes doigts continuent sur leur lancée : ils défont sa ceinture, sa braguette, font glisser son pantalon et son boxer sur ses cuisses.
    
    Je suis à genoux devant lui, en train de le pomper avidement, les yeux rivés sur ses pecs et ses abdos finement poilus qui se dévoilent au gré des ondulations des pans de sa chemise, au fil de ses coups de reins se mélangeant à mes va-et-vient fougueux ; les yeux rivés sur les deux bouts de sa cravate noire qui pendouillent de part et d’autre et qui s’agitent eux aussi, comme un compteur mesurant l’intensité de nos plaisirs.
    
    Oui, je le suce, animé par l’urgence de le faire jouir au plus vite, de goûter une fois de plus à son jus de petit mec. Sa main maintient saisit ma nuque : et le bogoss envoie quelques bons coups de reins qui, sans être forcément très violents, n’en sont pas moins bien puissants.
    
    « Viens, on monte… » fait mon Jérém à un moment, tout en dégageant sa queue de ma bouche, en remontant son boxer et son pantalon, et en prenant le chemin de l’escalier ...
    ... devant moi.
    
    Je suis intrigué par ses mots, curieux de ses intentions : pourtant, ce qui me touche le plus, c’est son attitude, son aisance, comme s’il était vraiment chez lui.
    
    J’ai tout juste le temps de refermer la porte de la chambre, que déjà le bogoss tombe sa chemise, défait la ceinture et le bouton de sa braguette ; puis, il s’arrête et il me regarde fixement.
    
    Une fois de plus, je vois en lui l’attitude du mâle conquérant, sûr de lui, de sa force, de sa puissance, qui sait que sa virilité parle pour lui ; un mâle qui, en fait, n’a rien à faire pour me soumettre à ses envies : juste me regarder et défaire le bouton de sa braguette. Exactement comme il l’a fait.
    
    Je suis à nouveau à genoux devant lui. J’ouvre le zip, et je retrouve son boxer blanc bien rempli ; je pose mes narines sur le tissu, j’hume les bonnes petites odeurs de queue qui s’en dégagent ; j’agace son gland à travers le tissu. Impatient, le bogoss finit par libérer la bête de sa prison de coton et par la présenter directement entre mes lèvres.
    
    Et c’est pile à cet instant que la sonnerie de la porte d’entrée retentit à nouveau dans la maison. Impatient de recommencer à donner du plaisir à mon bobrun, je décide de ne pas y prêter attention. Ça doit encore être cette cassecouilles de voisine, pas question que ses conneries me détournent de ce moment de bonheur. Oui, tout peut attendre, ou presque, face à l’urgence de sucer mon bobrun.
    
    Hélas, je viens tout juste de reprendre sa queue entre mes ...
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