1. 55.1 Les envies de Jérém (troisième du nom).


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... son corps se raidir sous la vague puissante de l’orgasme.
    
    Je le pompe et j’accueille avec bonheur les quelques bonnes giclées puissantes de son pur nectar de mec.
    
    Lorsqu’il revient à lui, le bogoss s’abandonne de tout son poids sur le dossier de la chaise, cherchant l’inclinaison maximale, tête vers l’arrière, épuisé ; j’adore sentir que je l’ai rendu fou de plaisir. Je m’assois par terre, entre ses jambes, j’appuie ma tête contre sa cuisse, le visage si proche de sa queue.
    
    Le bogoss attrape son paquet de cigarettes, qu’il a laissé sur le radiateur à côté de la fenêtre et il en extirpe une cigarette un peu différente de toutes les autres. Il la coince entre ses lèvres, il tente de l’allumer, il doit insister : c’est le genre de cigarette qui ne prend pas tout de suite. Lorsqu’il arrive enfin à la démarrer, une épaisse fumée blanchâtre s’en dégage, à l’odeur si typique. Le bogoss en tire une longue taffe ; puis, pendant qu’il l’expire lentement, il porte le tarpé sous mon nez, il me propose de le partager avec lui.
    
    Je n’en ressens pas particulièrement le besoin, j’accepte plus pour ne pas refuser ce partage que pour envie de planer : sa présence me fait bien assez planer, sans besoin d’en rajouter. Je tire une petite taffe, j’expire à mon tour et je lui rends son tarpé. Le bogoss recommence, il tire dessus deux ou trois fois et il me tend à nouveau le bout fumant.
    
    Je prends une nouvelle inspiration, plus profonde cette fois-ci. La fumée brûlante envahit mes ...
    ... poumons, elle m’est à la fois désagréable et séduisante. La fumée en elle-même ne me plaît pas, mais je commence à ressentir les effets apaisants, la petite ivresse de ce petit fourrage magique.
    
    Je tire une deuxième taffe et je passe à nouveau le tarpé à mon Jérém : je l’entends tirer dessus une fois de plus. L’air de rien, ses doigts se posent sur mes cheveux, les caressent doucement. Tout se passe en silence, mais tout semble si limpide entre nous à cet instant encore.
    
    « Merde, ça s’est éteint… » fait le bogoss.
    
    « Tu reprends à quelle heure ? » je me renseigne.
    
    « J’ai le temps… pas avant 18 heures… ».
    
    « T’as une longue pause aujourd’hui, c’est cool… ».
    
    « J’ai un paquet d’heures à récupérer… ».
    
    Soudainement, mes narines sont happées par l’odeur de jus de bogoss qui se dégage de son gland si proche. Instinctivement, je tourne la tête. Sa queue mi-molle est si proche, si tentante. Qu’est-ce qu’elle me fait envie, cette queue.
    
    « J’ai envie de toi… » je ne peux m’empêcher de lui glisser.
    
    « Encore ? ».
    
    « Oui, j’ai encore envie de toi… » je réponds, tout en tournant la tête et en le reprenant en bouche.
    
    « Ah, ouaisss… » je l’entends s’exciter, dès que ma langue commence à s’enrouler autour de son gland.
    
    « Ouaisss… » je lui confirme, en quittant sa queue pour le regarder droit dans les yeux.
    
    « Bah… alors… » fait-il, avant de s’arrêter net.
    
    « Alors quoi ? ».
    
    « Alors, montre-moi comment tu as envie de moi… ».
    
    « Comment ça ? ».
    
    « Vas-y, ...
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