1. L'héritage de Charlotte


    Datte: 16/04/2020, Catégories: ff, frousses, fantastiqu, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... et je me suis masturbé comme une folle ?
    — Madame, Madame ! ne cessait de soupirer l’Irlandaise.
    — Acceptes-tu mes caresses, mes baisers ? Si tu ne le veux pas, je ne t’en voudrais pas. Ne dis pas oui simplement pour m’obéir… Ou parce que je suis… euh, ta patronne, OK ?
    — Oui Madame ! J’accepte !
    
    Elles s’embrassèrent à nouveau. Puis Charlotte l’inspecta minutieusement tout en la touchant du bout des doigts. Elle la complimenta sur ses cheveux, son visage de poupée qu’elle embrassait avec passion.
    
    — Tu as la même peau que moi. Oh, tes seins sont si mignons, et fermes, avec ça !
    
    Charlotte fit courir sa bouche sur la peau curieusement un peu sucrée de ses épaules qui sentait le savon, mordilla ses seins, passa sa langue sur les tétons tendus. Tracy haletait de bonheur, ses mains enfouies dans la tignasse blonde. Le ventre de la petite rousse frémit et palpita sous la langue experte de Charlotte, et tout son corps se raidit de plaisir quand celle-ci glissa sur ses cuisses.
    
    — J’aime ta toison bien fournie… Les senteurs de ton minou m’enivrent. J’ai une folle envie de te goûter. Tiens, j’aperçois de petites perles de mouille sur tes poils. Si tu savais comme je te désire !
    — Madame ! Madame ! haletait la petite Irlandaise.
    
    La bouche de Charlotte voyagea le long de ses jambes et s’attarda sur ses pieds blancs.
    
    — Ils sont aussi petits que les miens. Tracy, qu’est-ce qui m’arrive ? Je rêve ! Ah ! Si on m’avait dit…
    
    Elle les baisa et remonta petit à petit sur ...
    ... les mollets.
    
    — Ah Tracy ! Ce cul ! Ah, les deux jolies pommes que voilà ! s’exclama la blonde, en en mordillant les deux globes pâles et durs.
    
    Elle fit glisser la pointe de sa langue dans le sillon de la colonne vertébrale et redescendit dans la raie des fesses.
    
    — Madame, je vais devenir folle ! s’extasiait Tracy, le visage à moitié enfoui dans l’oreiller.
    
    Charlotte la tourna face à elle, la prit dans ses bras et entremêla ses jambes avec les siennes.
    
    — Tu m’as plu tout de suite. Tu m’as ensorcelée, avoues-le ! déclara Charlotte entre deux baisers passionnés.
    — Madame, vous aussi, vous me plaisez ! Je ferai comme il vous plaira.
    
    Pendant de longues minutes, Charlotte dégusta du bout des lèvres la peau de sa compagne, savoura ses baisers, la tiédeur de son corps. Quand le visage de Charlotte s’aventura à nouveau entre les jambes de la jeune fille, elle remarqua que sa toison et la peau de l’intérieur de ses cuisses étaient encore plus maculées de son nectar de plaisir.
    
    — Comme tu mouilles bien, ma petite Tracy ! Comme ta peau est délicieuse !
    
    Ivre de désir, Charlotte posa ses lèvres sur la fente tant convoitée et insinua sa langue dans ses replis intimes. Elle se délecta de sa liqueur distillée par le plaisir, avec une gourmandise avide. Un peu plus tard la petite irlandaise eut toutes les peines du monde à contenir ses cris de jouissance. Son orgasme fut puissant et secoua tout son corps. Charlotte, le visage inondé de la cyprine odorante de Tracy était ...
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