L'héritage de Charlotte
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
ff,
frousses,
fantastiqu,
Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe
... au comble du bonheur. Les deux femmes restèrent enlacées un long moment, échangeant de temps à autres un baiser ou un tendre regard.
— Madame n’a pas eu d’orgasme, déclara Tracy.
— Aimerais-tu me faire jouir, ma douce rouquine ?
— De la manière qu’il plaira à Madame.
Charlotte guida la main de Tracy entre ses cuisses.
— Vas-y, ma douce Tracy, fouilles-moi, souffla Charlotte.
— Madame est toute mouillée aussi. Oh, comme vous êtes ouverte !
— Vas-y, ma douce. Tu as encore de petites mains d’adolescente, prends-moi.
La blonde saisit le poignet de la domestique pour l’inciter à la pénétrer au plus profond de son ventre. Bientôt, toute la main disparut dans le ventre de Charlotte. Quand elle reprit ses esprits, elle s’aperçut qu’elle tenait toujours le bras de Tracy qui attendait en souriant. Elle guida la main juvénile vers la bouche de l’Irlandaise. À petits coups de langues, celle-ci lui lécha les doigts, puis toute la main.
— Madame ! C’est un moment magnifique !
— Merci Tracy, tu es si merveilleuse, ta liqueur de fille est délicieuse… soupira Charlotte, en commençant à fouiller à son tour entre les cuisses de la jeune employée.
— Votre miel est savoureux aussi, murmura la jeune fille.
Charlotte, qui sentit un obstacle sous son majeur, stoppa brusquement son geste.
— Oh ! Mais je constate que tu es encore vierge !
Tracy baissa les yeux et rougit.
— Tu n’as jamais eu un petit ami ? s’étonna la blonde.
— Non Madame ! Je ne suis pas d’ici. Il ...
... y a beaucoup de travail au manoir, le village est loin. Pas le temps pour le flirt… expliqua Tracy.
— Bigre ! Tu n’as donc jamais sucé un garçon… Jamais personne n’a honoré ce si joli cul… commenta Charlotte, abasourdie.
— Oh ! Madame Néville ! s’offusqua la petite rousse.
Un véhicule entra dans la propriété et la jeune Irlandaise se redressa et sauta vivement à bas du lit.
— Nelson est de retour ! dit-elle en se revêtant prestement.
— Tu as peur qu’il nous trouve au lit ? demanda Charlotte, un sourire amusé au coin des lèvres.
— Non Madame ! Mais peut-être qu’il n’apprécierait pas… Enfin… Euh ! Je vais chercher le petit déjeuner de Madame.
Quand Tracy poussa à nouveau la porte de la chambre, portant un plateau, Charlotte était debout devant la fenêtre, toujours toute nue. Ce matin le ciel était d’un beau bleu et la vue sur la mer était splendide. Le plateau fut posé sur la table et Charlotte, au lieu de prendre place sur la chaise, s’assit cul nu sur le coin de la table, cuisses ostensiblement écartées. Elle picora les petits cakes aux fruits confits. De temps à autre, elle buvait une gorgée de café.
— Pourquoi me regardes-tu ainsi ?
Le visage de la jeune domestique s’empourpra légèrement.
— J’admire le corps de Madame.
Charlotte l’attira à elle.
— Où dors-tu, ma douce amie ?
— Ma chambre est au fond du couloir.
— Et Nelson ?
— Nelson retourne en ville à la fin de son service, à 21 heures 30. Il est marié et a deux enfants, expliqua Tracy.
— ...