1. Une passion, une faiblesse


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, cocus, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... les yeux.
    
    Mais putain, que c’est beau ! La femme, salope, cochonne, surtout pute déclarée et encouragée par le mari pour une trique maritale, est un jouet entre nos mains.
    
    — Allez, Régis, baise-la bien, ma salope de femme ! Moi, je me charge de lui baiser la bouche.
    
    Nous nous activons. La pièce est remplie de nos gémissements et des bruits de liquides qui "floquent" avec des chairs qui claquent.
    
    — Retiens-toi. Je veux qu’on crache en même temps dans cette garce. Ton jus et mon jus. Ta queue et ma queue.
    
    Quelques secondes encore…
    
    — Je viens. Je viens.
    
    Alors je balance ma purée. Un raz-de-marée s’est précipité et a inondé le vagin. Mais ce n’est rien par rapport à ce que Pascal a envoyé. Un moment j’ai bien cru qu’il allait étouffer sa femme par ses flots, et surtout cette queue qu’il ne retirait pas. Pendant un long moment des traînées de foutre se sont jointes à la salive.
    
    Nous avons repris notre souffle. Séverine a voulu essuyer son visage, mais son mari lui a dit :
    
    — Non, reste comme cela. Tu es belle avec ma jouissance. Je te veux souillée par notre désir.
    
    Elle le questionne sur son retour d’affection. Il lui explique comment il a découvert ce remède. Pour l’instant il décide d’en profiter. Il verra plus tard si ses érections vont revenir naturellement.
    
    On boit. On picore.
    
    Voir Séverine évoluer dans la tenue où notre partie l’a laissée m’inspire. Pascal a raison : rien de plus érotique que ce visage qui garde les traces de la ...
    ... jouissance de son mari. Et que dire de ces coulures sur ses cuisses, de ce foutre dont je l’ai abreuvée !
    
    Merde je bande ! Pascal le voit. Il sourit.
    
    — Regarde, Régis semble inspiré. Une nouvelle occasion de vérifier…
    
    Séverine comprend à demi-mot. Elle se penche sur moi, et déjà ma queue disparaît entre ses lèvres. Je suis déjà dur, et moi aussi la présence d’une troisième personne m’excite.
    
    Je prends sa tête entre mes mains et l’invite à venir me rejoindre. Je suis confortablement installé dans le canapé et elle vient vers moi. La voir se lever, m’enjamber, attraper ma queue avec deux doigts délicats pour la guider dans sa chatte est encore une découverte. Dire que mon gland reconnaît le chemin, dire qu’il retrouve ce qu’il a abandonné un peu plus tôt est un euphémisme. La crème qui enduit les parois de la grotte est de moi. J’ai tapissé, tel l’homme de Cro-Magnon, les parois de la grotte de dessins que tout le monde peut identifier.
    
    Je baigne dans ma crème. Je nage dans le stupre, et sous mes yeux le stupre a laissé des traces sur le visage de la femme qui commence à se baiser sur moi. Cela ne semble pas la déranger que son mari regarde. Cela ne perturbe pas son rythme alors qu’il se lève et s’approche. Il est juste à côté, et tous deux pouvons voir la tige maritale reprendre vie. Pascal adore ce qu’il voit. Voir sa femme se baiser sur une queue autre que la sienne est son Viagra personnel. Je suis heureux par mon action d’éviter que le trou de la Sécu ne se ...
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