Une passion, une faiblesse
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
cocus,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... avec force. Cette chienne veut de la queue, et ma queue est entrée en terrain conquis. Il n’est plus temps de lambiner. Je vais la bourrer, l’enfiler, lui faire oublier la queue à peine dégrossie de son amant alors que la mienne s’enfonce au plus loin, la faisant reculer sous mes efforts. Elle avance sur la table et sa tête pend maintenant dans le vide.
Je m’attendais à trouver une grotte béante, mais je découvre un vagin étroit qui s’adapte parfaitement à ma bite. Si elle n’était pas si mouillée, ma queue souffrirait de la pression.
Il est là. Pendant que je baise sa femme, Pascal s’est mis en pleine lumière, et tout de suite je vois que son plan a marché. Il est nu, muscles saillants, et ce qui pend entre ses jambes n’est pas une tige molle mais un sexe bien gaillard. Ainsi, lui qui souffrait depuis des mois de faiblesses à répétition, abandonnant à d’autres le corps de sa femme qu’il sait incapable d’abstinence, a enfin retrouvé le goût et l’envie. Je trouve touchant et même généreux de ne pas la priver de son plaisir afin qu’elle ne souffre pas d’une faiblesse dont elle n’était pas responsable.
Mais le remède était justement dans cette générosité. Pendant notre rencontre, il m’avait expliqué que, lors de l’épisode de la cuisine, il était resté un moment sur le pas de la porte, regardant sa femme me pomper et déguster mon foutre. Ce spectacle avait déclenché une érection qu’il avait même sentie se renforcer alors qu’il traitait son épouse de pute et de ...
... salope.
Séverine ne l’a pas vu entrer, tout entière concentrée sur son plaisir alors qu’elle se tord les seins et que je la bourre avec ardeur. Chaque seconde, maintenant que le mari est très proche de sa femme et qu’il peut la voir possédée par un autre, son sexe semble grossir. Il est beau, lisse, un gland très prononcé.
— Pascal !
Elle l’a vu. La tête penchée en arrière, elle doit avoir une drôle de vision de son mari.
— Mais tu bandes !
Voilà, elle ne pouvait pas ne pas le remarquer. Étrangement, c’est plus le fait qu’il bande que sa présence qui l’étonne.
— Oui, je bande. Je bande de voir ma femme se comporter en pute, en chienne, en salope, ne reculant devant rien pour se faire une belle bite.
— Oh ! Je suis désolée…
— Non, non, ne sois pas désolée. Ne change rien. C’est cela qui me fait bander à nouveau.
Il n’en faut pas plus pour qu’une main aux ongles rouges se tende vers le bâton et s’en empare.
— Viens…
Quel homme résisterait à cette demande ?
Quel homme n’apprécierait pas de voir son sexe avancer dans la gorge proposée ?
Quel homme résisterait à la tentation de se servir de la bouche et de la gorge, dans un alignement parfait, comme d’un fourreau sans fond ?
Bientôt je ne vois plus qu’un mandrin passant entre deux yeux, survolant un nez et disparaissant entre les lèvres roses. Même les couilles semblent vivantes lorsqu’elles écrasent le nez de Séverine.
Le gargouillis est infâme. La salive coule et ruisselle, forçant la femme à fermer ...