1. Une passion, une faiblesse


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, cocus, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... creuse.
    
    C’est d’une complicité totale. Je m’étonne de me sentir si à l’aise avec ce couple que je ne connaissais pas il y a huit jours.
    
    C’est à moi de jouer avec ses tétons. C’est à elle de se caresser le bouton alors que son mari fait le tour. Moi, je vois bien où il veut en venir. Ce serait une première pour moi. Pour eux, je ne sais pas.
    
    Il l’invite à se pencher plus sur moi. Elle est obligée d’abandonner son bouton pour s’appuyer sur ses bras. Pascal disparaît de ma vue, mais je sens ce qu’il fait. Il lèche le cul de sa femme, et je crois aussi y abandonne des flots de salive dont une partie coule sur mes couilles.
    
    Le voici qui réapparaît. Pas de doute, il va le faire.
    
    — Régis, ouvre-lui le cul.
    
    Bien sûr, je m’exécute, et mes mains plaquées sur les fesses généreuses doivent offrir une vision d’enfer au mari.
    
    — Pascal, tu ne vas pas… s’inquiète la femme.
    — Pourquoi ? Ton cul n’est plus vierge depuis longtemps ! Un cul de pute, bien rodé.
    — Mais pas à deux !
    — Mais ce n’est rien comparé à Arnaud. Figure-toi que je l’ai interviewé, ton Arnaud.
    — Tu n’as pas…
    — Mais si. Et lorsqu’il a compris que je ne faisais pas d’histoires, qu’au contraire j’étais preneur de détails croustillants, il s’est fait un plaisir de tout me dire.
    — C’est pas pos… Ahhhh !
    
    Pascal ne fait pas que parler. J’ai senti Séverine se crisper avant même que je sente que quelque chose force l’anus.
    
    — Il m’a expliqué comment il s’est arrangé pour être en poste décalé ...
    ... avec moi pour venir passer les nuits dans mon lit.
    — Excuse-moi… Ahhhh !
    
    L’engin avance dans le cul. Je le sens contre ma tige.
    
    — Aussi comment il faisait croire à sa femme qu’il faisait des heures sup.
    
    C’est à la fois dur et bon de le sentir progresser.
    
    — Mais le plus croustillant, ce sont les détails. J’ai bien aimé celui où…
    
    Encore une poussée.
    
    — Oui, celui où il t’a enculée avec son gros machin et que tu criais si fort qu’il a été obligé de mettre sa main sur ta bouche. C’est vrai ?
    — Pascal, ne me demande pas.
    
    Cette fois-ci, le coup est si puissant que la queue doit être en butée. D’ailleurs il me semble sentir ses couilles sur les miennes.
    
    — C’est vrai ?
    — Oui, mais…
    — Tu es une salope. Ma femme est une salope. Allez, dis-le que tu es une salope ! Une salope de femme infidèle !
    
    Séverine semble hésiter, mais déjà son mari la travaille sans ménagement et je vois sur son visage les traces qui marquent sa douleur ou son plaisir.
    
    — Allez, je veux t’entendre.
    
    Ce n’est d’abord qu’un soupir informe qui sort de ses lèvres, mais petit à petit, à mesure que la queue lui défonce le cul, le soupir se transforme en gémissements, puis en cris, et enfin, comme une libération :
    
    — Oui, je suis une salope…
    — Une pute.
    — Oui, une pute
    — Une cochonne.
    — Oui, une cochonne !
    
    C’est comme un écho. Le couple est en plein délire. Séverine avance et recule sous les assauts de son mari, et ce mouvement la baise en même temps sur ma queue.
    
    C’est ...