Une passion, une faiblesse
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
cocus,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... et sûrement écœurante. Bien sûr, cette caresse produit son effet et la verge molle se transforme en mandrin court, terriblement veiné et large, tronc énorme émergeant du sous-bois très garni de la toison pubienne. Elle a la bouche déformée en essayant de gober l’engin. Mais cela n’altère pas sa bonne humeur. À chaque fois que sa bouche est libérée du monstre, elle regarde vers son mari et lui parle.
Lui n’y va pas par quatre chemins. Il la soulève littéralement du canapé, la tourne et la fait s’installer à quatre pattes dessus. Un instant, j’ai une vision magnifique des fesses et des cuisses blanches dans le creux desquelles se tapit un univers secret juste marqué par un délicat duvet blond.
Le mari se positionne. J’espère que sa femme lui a bien nettoyé la queue de son miel collant car il va l’enfiler avec. Je sais que je ne peux pas entendre, mais mon imagination le fait pour moi. Le "han" que doit pousser le gaillard au moment où il enfile sa femme d’une unique mais puissance saillie résonne dans mon crâne. Il la dissimule de son corps gras et lourd. Si je n’avais vu la femme se préparer et se positionner avec entrain pour la possession, la rudesse de la scène pourrait faire penser à un viol. Un homme de Neandertal qui couvre une délicate Homo Sapiens. La fourrure de la bête sur ce corps blanc et délicat.
Mais nul doute que la femme soit habituée car aucun mouvement de sa part ne montre un refus. Au contraire, la cochonne tortille son cul dès que la queue fait ...
... mine de l’abandonner.
L’homme la baise. Sa queue est un piston qui bourre la grotte certainement complice de l’envahisseur. La femme tourne la tête et parle à son baiseur.« Merde, comme j’aimerais pouvoir l’entendre ! » À sa façon de se comporter, c’est évident qu’elle apprécie le traitement. Et ses paroles doivent encourager son mari qui, loin de ralentir, enclenche vitesse après vitesse.
Il paraît infatigable, et pourtant, alors que je commence à avoir des crampes de me maintenir hors équilibre, il accélère encore et je vois bien qu’il va jouir. Les derniers coups sont d’une violence extrême. La femme doit se retenir au dossier pour ne pas être propulsée hors du champ de bataille. La semence doit jaillir et inonder le vagin.
Quelques mouvements encore et l’homme s’effondre sur sa chienne de femme. Au bout d’un moment elle se dégage, et après avoir dit quelques mots va attraper la queue débandante pour la nettoyer de ses lèvres.
Une cochonne. Une salope. La Belle et la Bête, mais la belle sait se hisser au niveau de la bête…
Quelques instants plus tard, tous deux sortent de la pièce. J’imagine qu’ils vont faire un peu de toilette. Enfin je peux me laisser revenir en équilibre et relâcher mes muscles. C’est à ce moment que la femme revient, range les affaires sur le plateau, et alors qu’elle se relève, elle me voit. Je suis certain qu’elle m’a vu, et pourtant, après une infime hésitation, elle sort de la pièce. Ouf !
Je me dépêche de faire ce que j’ai à faire ...