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Une passion, une faiblesse
Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, cocus, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe
Avoir la chance de joindre l’utile à l’agréable est assez rare. Moi je le fais. J’adore l’escalade, la varappe, et mon métier me permet de pratiquer ma passion. Combien d’immeubles, de bâtiments ne sont pas ou ne sont pas assez équipés pour permettre d’intervenir sur leurs façades ! Se balancer au bout d’une corde est un plaisir que beaucoup fuiraient, mais moi j’adore. Actuellement je travaille sur un ensemble d’immeubles d’habitation afin de laver, nettoyer, rénover certaines fenêtres inaccessibles par les occupants. Et comme il fait une chaleur de chien avec un soleil de plomb nous commençons très tôt, juste au lever du soleil et encore en choisissant la façade qui n’est pas à l’Est. Nous compensons la course du soleil par notre agilité et la possibilité de changer facilement d’orientation. Ce matin, je dois être au vingtième étage et il fait à peine jour. La pièce de l’autre côté de la baie vitrée est encore dans le noir. Cela facilite mon travail car je peux bien voir les défauts, fissures et dégâts divers. Et puis une lampe s’éclaire. Un homme entre. Il est à poil. La plupart du temps les occupants ne lisent pas les annonces placardées dans l’entrée et dans les ascenseurs prévenant de notre présence potentielle. Ce n’est pas du genre à défiler comme mannequin. Plutôt du genre petit, gros avec du ventre et des poils qui doivent lui servir de couverture en hiver. Il ne me voit pas et s’installe sur un canapé. Quelques secondes plus tard une femme arrive avec ...
... un grand plateau qu’elle pose sur la table basse en face du canapé. Elle aussi est à poil. Elle aussi ne me voit pas, mais instinctivement je me balance un peu pour disparaître de la fenêtre. Pourtant je ne peux m’empêcher de la détailler. Elle a bien la quarantaine, mais ce que je peux en voir me montre une femme pulpeuse avec deux beaux seins qui pendent lorsqu’elle se penche et reviennent presque à l’horizontale lorsqu’elle s’installe à côté de son mari. Il me la cache mais pourtant je garde le souvenir d’une peau laiteuse et de hanches généreuses. Qu’est ce que je fais ? Je passe à la fenêtre suivante et reviendrai plus tard. Mais je risque de l’oublier. Je vais appeler mon collègue pour qu’il me donne du mou lorsque la scène de petit déjeuner change. L’homme se lève et fait un mouvement que je ne comprends pas sur le moment. Il a attrapé un pot de ce qui semble être de la confiture, non du miel avec cette couleur jaune d’or si caractéristique, et s’installant face à sa femme, il trempe son sexe dedans. La femme rigole mais aussi se précipite pour glisser une serviette sous le pot, et sous cette tige molle dont l’extrémité laisse couler de gros filets de ce sirop épais mais liquide. Le pot est déjà sur la table que l’homme attire sa compagne qui n’a d’autre choix de venir lécher la verge pour la nettoyer. Tous deux rient de cette plaisanterie mais le début de circulation dans les rues m’empêche de les entendre. Suit un long moment où la langue déguste la pâte épaisse ...