Une passion, une faiblesse - Histoires de Sexe

Une passion, une faiblesse

... bon.

Séverine peut-elle oublier que c’est ma queue qui la possède ? Non, je vois bien que de temps en temps elle me regarde, et ses yeux rient alors qu’elle répète les mots les plus grossiers, les expressions les plus ordurières. Maintenant, elle n’a même plus besoin de son mari pour crier son plaisir. Elle a compris que ce jeu est un "Viagra" extraordinaire et que le bâton de chair, si dur, si gros, n’est que le résultat de leur délire.

Moi aussi j’aime bien l’entendre ; et si au début j’avais l’impression qu’elle se forçait un peu, maintenant je vois que ce n’est plus le cas.

— Oh, oui, la grosse bite d’Arnaud m’a labourée. Mais toi, venge-toi ! Punis-moi de mon vice. Bourre-moi le cul ! Remplis mes entrailles pendant que je me prends sur Régis.

D’ailleurs ce n’est plus Pascal qui s’active, mais elle qui s’enfile sur nous.

Ah, voir cette femme se tortiller, avancer, reculer pour chercher le plaisir…

Peut-on jouir par le cul ? Voilà une question que je ne me suis jamais posée. Je regarderai plus tard sur le web. Ou, pourquoi ne pas essayer ? En attendant, quelle que soit la façon, celle qui me domine semble littéralement possédée.

— Ouiiiii… Balance… C’est brûlant…

Je comprends que Pascal jouit. C’en est trop pour moi : je me laisse aller et jouis aussi.

Longtemps Séverine continue de se baiser sur nous alors que petit à petit nos queues faiblissent. Son mari n’a peut être pas tort ; après tout, il la connaît bien : sa femme est quasiment une ...

... nympho.

Oh, que j’aimerais rencontrer une fille de mon âge comme elle…

Encore une fois Pascal refuse que Séverine se nettoie.

— Non, tu fais encore plus cochonne avec tout ce foutre qui coule de partout.

Un long silence. Un verre.

— Demain tu vas appeler Arnaud pour qu’il vienne la nuit.
— Mais tu n’es pas de poste. Tu veux vraiment que je continue avec lui ? Maintenant il sait que tu sais. Régis pourrait le remplacer.
— S’il est d’accord, Régis est le bienvenu, mais une autre fois. J’ai un projet.
— Ah ?
— Oui, je voudrais me faire sa femme. Caroline m’a toujours fait envie. Je sais qu’elle l’a déjà trompé, et cela a fait toute une histoire. Il lui a mené la vie dure. Tu n’as rien contre ?
— Je serais mal placée pour refuser…
— Je m’en doutais. J’ai été la voir aussi.
— Tu as rencontré Caroline ?
— Ben oui. Je lui ai tout raconté. Son mari avec toi, etc.
— Non !
— Mais si. Et, au vu de la vie qu’il lui a menée quand elle a fait un écart, elle a du mal à le digérer. Surtout que cela dure depuis un moment avec toi.
— Mais c’est dégueulasse !
— Mais non. Elle doute encore. Mais si je lui apporte la preuve, elle a promis de se venger, et bien sûr avec moi, le pauvre mari cocu. Alors, lorsque tu seras avec Arnaud, nous, on arrivera discrètement, et avec un peu de chance je pourrai la baiser dans l’entrée alors que toi tu t’enverras en l’air avec son mari. Ce serait super, non ? Tu imagines la scène… Rien que d’y penser je bande. Mais oui, regarde chérie.
— ...