1. Les roues de la fortune


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, handicap, intermast, Oral pénétratio, amourdura, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... doucement jusque-là.
    
    Patiemment, bien plus lentement que la veille alors qu’ils étaient découverts, offerts à mes regards, mes doigts s’aventurent sur les contreforts des ballons laiteux, repoussent les pans de la soie pour découvrir enfin un téton érigé.
    
    Tournez doigts légers, agacez le cercle hérissé de l’aréole, titillez le téton distendu !
    
    Chaque frôlement, chaque touchette déclenche, je le vois, des sensations croissantes, le cou de Camélia se tend, sa nuque s’enfonce dans le drap, sa respiration s’accélère, ses doigts se crispent sur ma queue. Ma bouche embrasse chaque centimètre de sa peau dénudée, célèbre chaque parcelle de sa poitrine, redécouvre les coupoles magnifiques. Je lèche, titille avec ma langue le velours de son sein. Je m’attendris de ses mouvements à elle, de ses doigts qui ponctuent sur ma verge les frissons qui la parcourent, serrements-relâchements. Plus de va-et-vient, sa main enserre simplement le pieu : inconsciemment sûrement, Camélia se sert de mon manche comme d’un joystick, transcodeur sensible de ses ressentis. Plus elle l’étrangle, plus elle me ravit.
    
    Je l’embrasse à pleine bouche, je l’étourdis avant de retourner flatter ses seins maintenant dénudés, m’attaque avec insistance aux fruits grenus, mes doigts furètent sur son corps; je ne peux les empêcher de dégringoler vers des zones que je sais pourtant insensibles. Mais pourrais-je négliger ces dentelles diaphanes qu’elle m’a dédiées ? Sans abandonner un instant ni ses seins ni ...
    ... sa bouche, ma main gauche plonge vers le centre perdu de son corps, apprécie le renflement dodu de son mont de Vénus, mes doigts folâtrent dans la courte toison, glissent sous l’élastique de la culotte légère. Je crois bien qu’ils tremblent en abordant le défilé sacré.
    
    Que vais-je donc y trouver ou… n’y rien trouver ?
    
    J’embrasse Camélia avec fougue, j’ai besoin de son souffle, besoin de sa chaleur pour compenser la sécheresse de sa conque fermée, besoin de son courage pour dessiner les contours d’un clitoris bien présent, merveille assurément rare, mais indifférent à mes caresses. Et quand mon majeur s’enfonce à demi dans la grotte close, sa sécheresse m’est un choc qui sans nul doute anéantirait la vaillance de mon pieu si je ne sentais pas ma douce frémir sous mes caresses, pincements et agaceries sur ses seins, mes baisers dans son cou, mes caresses dans sa nuque tendue.
    
    J’étais prévenu pourtant cette impassibilité, mais je n’imaginais pas à quel point elle me désespérerait.
    
    Camélia a senti, prévu sans doute mon désarroi :
    
    — Viens, donne-moi ta bite, demande-t-elle. Je veux te sucer, la prendre dans ma bouche.
    
    Comme je me relève et m’avance en surplombant son corps, elle me donne une petite tape sur les fesses pour m’inciter à me retourner.
    
    — Enlève-moi donc mon slip, libère et profite de ma moule comme je vais profiter de ta queue !
    
    Je n’ose pas lui dire que j’ai déjà en fait troussé son slip sur le mitan de ses cuisses. J’obéis, presque heureux de ...
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