Les roues de la fortune
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
fh,
handicap,
intermast,
Oral
pénétratio,
amourdura,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... lui tourner le dos, je fais glisser le vêtement sur ses jambes. Elle, déjà, s’attaque à ma virilité, déployant un beau courage pour en maintenir la vaillance. Elle y va de bon cœur, suce, pompe, ensorcelle mon nœud avec sa langue agile. Pour ne pas être en reste, je plonge entre ses cuisses que je viens d’écarter, promène ma langue dans les replis de son coquillage dont le seul parfum est celui d’une vanille discrète qu’elle y a répandu. Ma salive vient lubrifier ses lèvres, mais les corolles de ses nymphes restent absentes, recroquevillées sans doute. Le bonbon est joli, délicat, mais sans sucre, le clitoris superbe avec sa gangue ferme et forte, mais inerte, l’entrée de la grotte baille peu à peu sous les efforts de ma langue et mes doigts. Camélia heureusement est experte démoniaque et affole ma bite.
Je ne veux surtout pas tenter de réfléchir, essayer de savoir où je puise la force de garder mon excitation, la flamme qui conserve à ma queue une relative raideur. Ne pas penser surtout, ne pas penser !
— Viens, me dit-elle en abandonnant ma queue, donne-moi la bouche qui vient de me lécher !
Une fois encore j’obéis à l’instant, me retourne en m’allongeant sur elle, je lui donne mes lèvres parfumées vanille.
— Marc, baise-moi, je veux sentir ta queue tout au fond de moi.
Sentir ? Si seulement ça pouvait être vrai !
Elle a attrapé une bombe à canule, l’a glissée entre ses cuisses et libéré un jet dans sa chatte.
— Viens ! Vite !
Elle sait l’urgence ...
... du moment, qu’il faut profiter très vite de la forme encore convaincante de ma queue. Je m’enfonce en elle : à défaut d’être chaude, sa chatte est douce, lubrifiée par le gel que je craignais glacé, mais se révèle douillet. L’heure n’est plus à la retenue, je sabre, m’enfonce avec brutalité, bute au fond la grotte. À la troisième butée ?, Camélia écarquille un bref instant les yeux, le sabrage suivant provoque le même réflexe de ses paupières, un sourire apparaît, transfigure la belle. Je pilonne, vaillant artilleur ragaillardi par ces signes discrets, son sourire épanoui, la tendresse de son regard. Je pilonne encore et encore, mais sens déjà sa tension baisser. Je n’en peux plus, partagé, écartelé que je suis entre contentement et désespérance. Je jouis, ou plutôt, j’éjacule, mécaniquement, nerveusement, sans réel plaisir, sans jouissance.
Avec juste, c’est con je sais, le sentiment du devoir accompli, d’une petite, toute petite, minuscule, infinitésimale réussite dans mon impossible mission.
Camélia est radieuse, me laisse à peine le temps de reprendre mon souffle après ma cavalcade effrénée, prend mon visage entre ses mains, me couvre de baisers fous, rit et pleure.
— Merci, merci, merci, répète-t-elle entre deux baisers, deux sanglots, deux rires.
Je suis estomaqué, embrumé, ahuri, déboussolé.
Quand le calme revient, allongé contre elle, je la contemple, radieuse et resplendissante. Je n’ose pas l’interroger, poser la moindre question, je suis à dix mille ...