1. Suite de ma rencontre avec Rachel, souvenirs d'adolescence


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, alliance, profélève, hépilé, piscine, école, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... douceur de ma nouvelle partenaire de chambre qui apaisait mes premières pudeurs et les émotions de cette nouvelle situation de pensionnaire.
    
    — Autant te le dire tout de suite, puisque nous allons devoir passer toute l’année ensemble, je préfère les filles aux garçons. Tu vois ce que je veux dire ?
    
    Je restais silencieuse devant cet aveu inattendu. Sans attendre de réponse, Sophie continua :
    
    — Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te violer, dit-elle sur un ton espiègle. C’est vrai que tu es toute mignonne avec tes petites taches de rousseur et tes fesses à croquer. Mais j’ai déjà quelqu’un dans ma vie.
    
    Ayant appliqué une légère tape sur mes fesses, elle posa ses mains sur mes épaules et me retourna.
    
    — Voilà, t’es trop mimi comme ça.
    
    Elle se pencha légèrement et déposa un baiser effleuré sur la pointe de mes seins en laissant éclater un rire cristallin.
    
    — Ne fais pas cette tête. Ce n’est pas grave si tu es hétéro. C’est juste un petit bisou. Allez ! Je ne t’embête plus avec ça.
    
    En un bond elle avait sauté sur son lit et s’était allongée avec la même impudeur rieuse. Elle avait saisi une lime à ongles en carton et s’attaquait maintenant à une savante manucure.
    
    — Tu as un copain toi ?
    
    J’avais rejoint mon lit en face du sien et, convertie par la sensuelle complicité qu’avait su créer Sophie, je m’allongeai dans la même tenue qu’elle avec la fierté d’une nouvelle adepte de la sororité. Malgré mon apparent abandon, je veillai consciencieusement par un reste ...
    ... naturel de pudeur à maintenir mes cuisses serrées pour éviter l’exhibition de mon petit trésor.
    
    — Oui, bien sûr, j’ai un copain depuis longtemps.
    — Et tu as couché avec lui ?
    
    Henri, qui est maintenant mon mari pour le meilleur comme pour le pire, était un ami d’enfance avec lequel je sortais depuis deux ans. Quand je dis que nous sortions ensemble, je dois préciser pour être honnête que nous flirtions. Promis l’un à l’autre de manière informelle par nos familles respectives, nous ne nous étions jamais posé la question de savoir quelles étaient les raisons profondes qui avaient présidé à nos premiers baisers, ni à nos premières caresses. En matière de caresses, Henri était encore plus prude que moi, mais le temps et le désir croissant, nous avions progressivement laissé nos mains découvrir nos corps.
    
    Avec une curiosité mêlée d’une certaine fierté j’aimais sentir le désir durcir son ventre qu’il collait au mien quand il caressait, pour ne pas dire malaxait, mes seins. Je n’étais pas une oie blanche au sens où certains citadins pourraient le penser. Élevée à la campagne, la sexualité animale avait depuis longtemps balayé les interrogations naïves sur la question de savoir si les garçons naissaient dans des choux et les filles dans des roses. Nos voisins, éleveurs passionnés de chevaux, avaient naturellement et inconsciemment, répondu aux questions sur les mystères de la reproduction chez les mammifères. Leur étalon en rut à l’heure des saillies ne m’avait laissé aucun ...
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