1. Suite de ma rencontre avec Rachel, souvenirs d'adolescence


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, alliance, profélève, hépilé, piscine, école, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... glissait sous une de ses aisselles. Je ne le voyais toujours que de dos et en vins à espérer qu’il se retournât. Il en est ainsi, je suppose, de tous les voyeurs occasionnels ou obsessionnels de ne pouvoir se satisfaire totalement de l’image volée ou surprise. Un angle doit en précéder un nouveau, une révélation doit en prévenir une nouvelle. Comme s’il avait voulu répondre à mon attente, Pierre se retourna et présenta le côté face espéré. L’ensemble de son corps était rasé, totalement dépourvu du moindre poil, souvenir probable de ses années de compétition. Comme tous les nageurs professionnels, ses épaules étaient larges et puissantes et ses pectoraux impressionnants. Il portait d’habitude un tee-shirt pendant les cours, mais, dans cette tenue, il révélait sans ambiguïté les années de fréquentation du bassin.
    
    Semblant profiter de cet instant de détente, ses mains caressaient lentement son corps, suivant la courbe de chaque muscle qu’il faisait machinalement rouler sous la peau. Mais ce qui retint mon attention, c’est évidemment son sexe que je n’avais que deviné jusqu’alors. Long, plutôt fin (mais je n’avais pas beaucoup d’éléments de comparaison ou de référence), il reposait mollement sur ses testicules dont je devinais les formes débordant de chaque côté. Ses mains qui venaient de quitter son torse enduisaient maintenant de produit savonneux l’objet de ma curiosité. Il avait posé sa main gauche à la base de son pubis tandis que l’autre se saisissant de la verge en ...
    ... décalottait le gland qui apparut oblong, rose foncé au sommet duquel je devinai la fente du méat légèrement dilatée par la pression de la peau tendue. La toilette intime ne dura que quelques minutes et il rouvrit le robinet pour se rincer.
    
    Je restais immobile, retenant mon souffle, excitée par la scène et épuisée par la tension générée par la crainte inconsciente d’être prise sur le fait. Il fallait maintenant que je rattrape le temps perdu et, alors que je tentai de saisir ma serviette posée sur mon sac, je fis glisser le trousseau de clefs posé sur mon pantalon.
    
    Je reculai, pestant intérieurement contre ma maladresse et, au lieu de manifester ma présence par un toussotement, j’essayai en vain et bêtement de me faire oublier.
    
    Entre le moment du cliquetis des clefs sur le carrelage et l’ouverture de la porte, il ne se déroula pas plus de trois à quatre secondes. La lumière crue des néons du vestiaire inonda ma cabine et je me rendais alors compte que j’étais depuis tout à l’heure dans l’obscurité.
    
    Dans le carré de lumière qui envahit subitement la petite pièce, la silhouette de Pierre se découpait, massive, inquiétante à la hauteur du sentiment de culpabilité qui montait en moi comme une bouffée de chaleur. J’étais tétanisée, serrant contre moi ma serviette en boule. Je vis son bras s’étendre et le néon de la cabine s’alluma par secousses. Il était devant moi, ruisselant d’eau, entièrement nu. Un léger sourire se dessinait sur ses lèvres.
    
    — Eh bien, mademoiselle ...
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