1. Suite de ma rencontre avec Rachel, souvenirs d'adolescence


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, alliance, profélève, hépilé, piscine, école, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... remarquai que l’arrondi déformant le fond du maillot. Pierre esquissa une rotation pour me laisser sortir et je rejoignis en trottinant les vestiaires du club.
    
    À la différence des vestiaires publics, parfaitement étanches entre sexes opposés, ceux du club, plus collectifs, étaient composés de cabines individuelles que fermait une porte. Je me glissai dans l’une d’elles et m’empressai de me déshabiller, sans prendre la peine de fermer la porte à clef. Je pensai que Pierre était parti faire sa ronde de fin de cours et la porte baillait d’un faible interstice. Je venais d’ôter mon bonnet et allai me débarrasser de mon maillot quand j’entendis sur le carrelage humide un pas alerte et un sifflotement que je devinais être ceux de notre moniteur. Je m’apprêtai à tirer la porte quand je le vis se diriger sous la douche et d’un geste rapide et machinal faire glisser son maillot. Il était légèrement de dos et je ressentis immédiatement monter en moi ce sentiment mêlé de gêne et de curiosité que j’avais connu au cours de ce camp à l’adolescence. Pierre venait d’ouvrir le robinet et, à travers le rideau de fines gouttelettes qui s’écrasaient en gerbe sur sa peau, je le vis se baisser pour saisir le flacon de shampoing à ses pieds.
    
    Il avait semble-t-il quelques difficultés à en dévisser le bouchon et s’accroupit légèrement pour accompagner son effort. Dans cette position mon regard glissant comme l’eau sur son dos et ses fesses vint s’accrocher à ces parties que j’avais devinées ...
    ... sous le tissu. Les lourds testicules pendaient entre ses cuisses, ronds, lisses, sur lesquels l’eau coulait jusqu’à former un petit filet. J’avais déjà vu au cours de mes premières aventures amoureuses, le sexe de mes partenaires, mais jamais je n’avais eu le loisir de les regarder sans l’excitation du désir qui d’habitude me tenaillait dans ces cas-là. Mon observation était d’autant plus attentive que c’était la première fois que je voyais le sexe d’un homme entièrement rasé. Lisses comme la peau de deux petits brugnons, les testicules balançaient lentement au gré des efforts de leur propriétaire.
    
    Visiblement parvenu à ses fins, Pierre pressa le flacon et commença à s’enduire de gel. Après avoir parsemé son corps de produit moussant, il éteignit le jet et commença à se savonner en reprenant son sifflotement. Poussée par l’aiguillon de la curiosité, j’oubliai le temps et restai les yeux fixés sur ce corps offert par accident à ma vue. Pierre avait commencé par la tête qui se couvrit rapidement d’une mousse blanche. Avec une acuité qui ne se trouve que chez les chasseurs, qu’ils soient d’images ou de gibier, je bénis inconsciemment le savon qui, coulant sur ses yeux l’obligeait à fermer ses paupières.
    
    Ses mains avaient quitté son corps et frottaient maintenant énergiquement ses hanches et ses fesses. Je suivis leur parcours comme pour en sentir moi-même les sensations.
    
    L’une d’entre elles venait de se faufiler mécaniquement entre ses fesses pendant que l’autre se ...
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