1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... en Auvergne. Et puis, avec lui, ce n’était plus tout à fait…
    — Hum, je suis sûr que tu n’as aucun mal à en trouver un autre, alors. Ils doivent être nombreux à essayer de te draguer !
    
    J’élude le sujet en lui faisant part de mon souhait d’étudier un peu dans la soirée. Je me lève et dessers. Il me gratifie d’un sourire enjôleur, me remercie pour lefestin et me dit aller rejoindre sa chambre. À peine la vaisselle achevée, je retourne dans la mienne, m’adosse à la porte. Les idées se bousculent dans mon crâne, le vin me fait tourner la tête. Je ne suis pas en état de travailler !
    
    J’opte pour une bonne douche réparatrice, mais, par défi, je décide de laisser la porte légèrement entrouverte. Je suis presque déçue lorsque, ruisselante, je découvre le couloir désert. Cette fois je l’ouvre en grand, et tout en chantonnant, j’enfile ma nuisette et mon shorty et m’installe devant le miroir, comme pour me démaquiller alors que je ne le suis pas. C’est alors que je sens sa présence : il s’approche tel un loup de sa proie ; et ce soir, je suis folle, je veux être sa proie.
    
    Il s’arrête dans l’embrasure de la porte. Je feins de l’ignorer, et sens son regard courir sur mon corps. Je ressens comme une caresse ce lent balayage de ma peau ; mes pores se hérissent, et dans mon ventre naît ce nœud que me fait éprouver le désir d’un homme. Il me murmure :
    
    — Tu es encore plus belle sous ce voile aux transparences troublantes !
    
    Nos regards se croisent. Pour la première fois, j’ose ...
    ... soutenir le sien. Je me lève, prends sa main, le conduis vers ma chambre.
    
    ooooOOOOoooo
    
    Je lui fais face et, avec lenteur, je remonte les pans de ma nuisette qui finit sa course sur ma lampe de chevet, tamisant sa lumière. Sans le quitter des yeux, je fais glisser mon shorty. Je suis nue devant lui, immobile, passive. Il avance ses mains, les glisse sous mes seins, en forme de coupelles. Sa peau est un peu rêche, mon souffle devient rauque. Ses paumes, enrobant ma poitrine, y déclenchent d’intenses fourmillements. Mes tétons se cabrent et durcissent, je chavire ; il me pousse lentement vers mon lit sur lequel je m’affale. Il se penche sur moi, ses lèvres se joignent aux miennes, sa langue me pénètre et joue avec la mienne. Sa moustache me chatouille, grisant contact pour moi, ignorante jusque là de l’effet érotique de baisers aux poils drus. Ses mains courent sur mes flancs, mes cuisses, mes fesses, se glissent entre nos ventres. Le contact entre le tissu un peu écru de ses vêtements et ma peau nue m’électrise.
    
    Je ne sais comment il évite de m’écraser sous lui, à l’inverse des garçons que j’ai connus jusque là. Je me livre à lui, immobile, lascive, toute à mon abandon. Son index court le long de ma fente, lentement, de haut en bas, puis remonte, comme pour mieux m’ouvrir. De son autre main, il m’empaume une fesse. Je sens l’humidité sourdre de mon intimité ; je me contiens malgré l’envie que j’ai de lancer mon ventre vers ce doigt inquisiteur. Sa moustache me chatouille ...
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