1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... de ses coups de bassin.
    
    Il se vide dans ma bouche, me forçant à avaler un peu de sa semence. Les mains de mon jeune amant sont maintenant fermement crochetées à mes fesses, la cadence est furieuse ; je me cabre, je crie, une violente onde traverse mon ventre, j’inonde mon partenaire qui s’envole à son tour.
    
    Lorsque je reprends conscience, je suis affalée, toujours avec mes seuls bas et bottes, sur le sofa. Assis au bar, M. Leloup me regarde en sirotant un verre, un énigmatique sourire flotte aux coins de ses lèvres. Il a un crayon à la main et trace des esquisses. Je suis encadrée par les deux Italiens, nus. Dans la langue de Dante, ils échangent des propos qui me semblent égrillards. Réalisant que je suis sortie de ma torpeur, d’un concert parfait ils me saisissent chacun une main qu’ils posent sur leur entrejambe. Le plus réactif de la famille est assurément le fils, dont le sexe se cabre à ce simple contact. Je ne peux m’empêcher de comparer les attributs virils de mes deux Italiens : le père est plus trapu, le fils plus racé, plus long, plus élancé. C’est au tour de leurs mains de devenir exploratrices, et je suis palpée, soupesée, pelotée, pénétrée. À nouveau, je sens en moi cette montée de l’envie qui me plonge dans un semi-coma.
    
    Pendant près de deux heures, je ne suis plus qu’un corps avide de plaisirs, qu’une poupée de chair soumise aux désirs de deux mâles déchaînés…
    
    Ce n’est qu’une fois que leurs bourses et mes muqueuses sont complètements asséchées que ...
    ... mes deux Napolitains me libèrent de leurs étreintes sauvages. Piteuse, je me rhabille. Mon string est introuvable, mon soutien-gorge ne soutient plus rien… Nue sous ma jupe courte et mon blazer moulant, au bras de mon artiste, nous reprenons la voiture et traversons Paris. La circulation est heureusement faible à cette heure matinale ; mais, à l’arrêt à un feu, je déclenche cris et gestes dans un camion-poubelle stationné à côté. J’ai honte. Mon chauffeur sourit à nouveau.
    
    ooooOOOOoooo
    
    Le réveil, tard le dimanche matin, est dur. J’ai dû trop boire, j’ai mal à la tête, mon corps est courbatu comme si j’avais reçu une volée de coups. Mon visage dans la glace est un véritable cauchemar ; et pire, mon corps est constellé de marques mauves et violettes, témoins embarrassants de la voracité de mes deux partenaires. Une heure de bain moussant, je reprends mes esprits, mais les traces sur ma peau sont toujours là, stigmates indélébiles de mes excès nocturnes.
    
    Lorsque je débarque dans la chambre de tante Adèle, son regard perçant me jauge cruellement ; j’ai mis un grand châle pour dissimuler mon cou, mais elle n’est pas dupe :
    
    — Élodie, tu as vu la mine que tu as ? Je suis sûre que tu as eu une nuit pour le moins agitée ! Rappelle-toi : les hommes ne cherchent qu’à glisser leur machin dans ton corps et cracher leur venin. Une fois leurs saletés faites, leur égoïsme revient, et tu n’es bonne pour eux qu’à repriser leurs chaussettes !
    
    Je me défends, trop mollement à mon ...