1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... me juge mûre, il s’écarte de moi et d’une seule main ôte pantalon et caleçon. M. Leloup, resté derrière moi, me tend un préservatif, et je sens dans son geste comme la volonté de me faire comprendre :
    
    — C’est toi qui l’as voulu, c’est toi qui va le poser !
    
    Le membre de l’italien est à son image : court, large, trapu. Il grogne lorsque je le chausse, puis se rue sur moi comme un affamé. Il prend mes jambes, les pose sur ses épaules, avance son ventre vers moi. Je suis pliée, les genoux écrasant ma poitrine. Il me pénètre brusquement. Ses coups de reins sont violents, il manque d’attentions. Malgré moi, je sens le plaisir proche ; mais, d’une poussée plus forte, il se répand en moi, jurant en italien. Je reste pantelante, au bord de l’orgasme, écrasée sous son poids.
    
    Au bout d’un long instant, ankylosée, je le repousse et, vêtue de mes seuls bas et bottes, je me traîne vers les lavabos. Il n’y en à qu’un, étrangement encadré par des urinoirs pour hommes, ce qui donne une impression bizarre. Je me rafraîchis un peu, je rumine ma colère. Colère contre moi-même, de m’être abandonnée si vite dans les bras d’un goujat âgé et sans charmes que je ne connaissais pas il y a deux heures. Colère contre lui, de m’avoir abandonnée à l’aplomb du plaisir, dans cet état critique où tous mes neurones excités réclament l’apothéose. Si j’avais été dans un vrai cabinet de toilettes et non dans cette pièce d’aisance du genre salle des pas perdus, je me serais probablement caressée !
    
    Je ...
    ... sors en ruminant de cette salle atypique et me retrouve soudain face à Enzo. Le père, le fils… où est donc l’esprit sain(t) ?
    
    Je m’arrête. Le jeune homme avance vers moi, mon regard croise le sien. J’ignore ce qu’il y lit ; il avance la main, la pose sur ma hanche. Une étrange décharge naît de ce simple contact et me traverse le corps. Sans presque me toucher, en m’effleurant à peine, il monte le long de ma taille, vient me frôler le sein, redescend vers mes reins, me pousse gentiment vers la grande table basse. D’une pression sur la cuisse, il m’y agenouille puis, me courbant la nuque, me place à quatre pattes, recourbée sur mes avant-bras. En m’entourant d’un bras la croupe, il me fait la remonter. J’entends alors ce bruit si caractéristique d’un homme qui se défait, et sens sur mon minou son sexe tout durci.
    
    Au lieu de m’embrocher comme l’avait fait son père, il promène son membre de haut en bas sur ma fente. Le contact est divin, je gémis et frissonne. Les sens exacerbés, d’une ruade arrière, n’y tenant plus, je l’avale en moi en reculant d’un coup. Il est long et glisse dans le fourreau de mon intimité. Je relève la tête, on me tire les cheveux. Le sexe de Dino, au trois quarts érigé, vient cogner sur mes lèvres. Son goût est âcre et fort, je manque de m’étouffer. Heureusement, Enzo coulisse en moi ; nous sommes emboîtés, et nos rythmes s’accélèrent en un accord parfait. Je sens mes seins ballotter au rythme de ses reins, et j’embouche la queue de son père à chacun ...