1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... fois le tour rapide des œuvres exposées – plusieurs dizaines en fait – nous rejoignons le bar. Je me hisse sur un des tabourets ; ma jupe découvre mon string ! Il m’est impossible de rester juchée sur de tels sièges sans découvrir intégralement mes jambes. M. Leloup devine ma gêne et un large sourire illumine son visage. Je suis fascinée par la manière dont son expression faciale, sombre et renfrognée, s’éclaire à ces moments-là.
    
    ooooOOOOoooo
    
    Le bruit de la porte qui s’ouvre m’interrompt dans ma réflexion, et je me laisse glisser du tabouret pour ne pas m’exhiber. Lino, sans le tablier de cuisinier qui lui ceignait jusque là les reins, appuie sur un interrupteur qui allume d’étranges spots de couleur rouge, s’avance vers moi et me lance de son accent chantant :
    
    —Una sambuca della casa pour le plus joli chaperon rouge que j’ai jamais connu !
    
    Faisant le tour du bar, il remplit trois verres, y jette quelques grains de café et… leur met le feu, à ma grande surprise. En grillant, ils dégagent des filaments qui marbrent l’alcool. Je me penche pour voir de plus près cette insolite mise à feu. M. Leloup me dicte, d’un ton plutôt sec :
    
    — Assieds-toi, Élodie, tu verras mieux !
    
    Le chameau… Il a bien vu que les tabourets m’exposaient largement. Il me saisit par les aisselles et m’installe de force. Les yeux de Dino sortent de leur orbite lorsqu’il découvre ma peau dénudée au-dessus de mes bas ; il contourne précipitamment le bar pour s’asseoir à mes côtés, souffle sur ...
    ... la flamme vacillante pour l’éteindre et me tend un verre en disant :
    
    — À ta beauté, ma belle !
    
    Il pose sa main velue sur ma cuisse en trinquant. Gênée, je la repousse, mais réalise alors que M. Leloup a posé la sienne presque simultanément sur mon autre genou. Pour me donner contenance, je porte le verre à mes lèvres et pousse un cri : il est brûlant. Mes deux sbires s’amusent de mon geste maladroit car, eux, ils attendent tranquillement que les parois tiédissent.
    
    Je suis parvenue à bloquer la main du restaurateur de la mienne sur mon genou, mais celle del’autre a progressé et son doigt frôle ma fente à travers le voile de mon string. J’ai la tête qui tourne, ne sais trop où je suis ; mon peintre approche sa moustache de mon oreille et, y insérant la langue, me glisse comme un secret :
    
    — Laisse-toi donc faire, Élo !
    
    Je ferme les yeux ; il me tend le liquide : c’est sucré, pas trop fort. Mon string roule sur mes cuisses, puis sur mes bottes. Dino a ouvert le zip de mon blazer et extrait non sans mal mes seins des bonnets trop étroits du soutien-gorge qui émet alors un lugubre craquement. Monpresque amant me titille le clito. Ils me font descendre du tabouret et me portent jusque sur le sofa, où je m’affale. Dino s’agenouille entre mes jambes et lance nez et mains vers mon intimité. Sidérée, je constate qu’il a même des poils sur les doigts ! Sa langue entreprend alors un ballet dans ma grotte ; et, même s’il est brutal, je sens monter en moi l’envie.
    
    Lorsqu’il ...
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