1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... diagonale sur le devant. Le troisième contient de la lingerie, une paire de bas autofixants, et un ensemble string/soutien-gorge noir avec une fine couture liserée rouge, en voile ultra-transparent ! Visiblement, M. Leloup souhaite améliorer ma tenue quotidienne…
    
    Je ne peux résister à l’envie d’essayer ces nouveaux atours. Les bonnets du soutien-gorge, de taille B, ont bien du mal à contenir mon buste, qui déborde quelque peu. Même chose pour le blazer, que je ne parviens pas à zipper jusqu’en haut. La jupe couvre tout juste les dentelles du haut de mes bas et, s’ils me grandissent, les talons de mes bottes me donnent une démarche chaloupée.
    
    J’ai du mal à me reconnaître ainsi habillée, ce n’est vraiment pas mon style habituel ! Au lieu d’aller réviser mes partiels, je passe plus d’une heure à prendre des poses devant ma psyché. Je déniche un rouge à lèvres à peu près du ton de mon ensemble, et un petit béret assorti qui donne une note un peu plus fantaisiste à mon look. Quitte à rester dans l’univers des apparences en désertant celui du savoir, je me fais les ongles et parfais mon épilation. Je suis prête bien avant l’heure fixée et ronge mon frein devant une série télé vraiment nulle.
    
    À l’heure fixée, j’entends mon bienfaiteur arriver. Je me précipite vers lui et lui demande, anxieuse :
    
    — Ça va comme ça ?
    
    Il m’enveloppe d’un regard enveloppant et répond :
    
    — Tu es magnifique, Élodie !
    — Le haut est un peu serré, dessous aussi…
    — Mais non, c’est super de ...
    ... montrer ainsi ta gorge !
    — Quand même, c’est risqué pour moi de sortir ainsi !
    — Mais non, je te protège. Et puis, c’est un peu de ta faute : tu m’as reproché de t’alourdir le buste dans mes dessins, alors j’ai choisi la taille en fonction de tes critiques !
    
    Nous éclatons d’un rire partagé et sortons jusqu’à sa voiture dont il m’ouvre galamment la portière. C’est un modèle courant, une 308 me semble-t-il. Je me rends compte combien il m’est difficile, avec cette jupe, de m’asseoir sans révéler le haut de mes bas et même un peu plus.
    
    — Tu aimes la cuisine italienne ?
    — Oh oui, j’adore !
    — Bien ; nous allons dîner chez un restaurateur que je connais, qui fait des prodiges culinaires.
    
    Nous traversons pratiquement tout Paris. Mon chauffeur s’amuse de mon ravissement devant les lumières de la ville du même nom. Ça change de Clermont, et je connais davantage les couleurs des couloirs de métro (et, aussi, hélas, leurs odeurs) que les monuments de la capitale ou les rives de la Seine.
    
    Nous pénétrons dans un restaurant d’une quinzaine de tables, dont une bonne moitié sont occupées, et un garçon de mon âge environ se précipite vers mon cavalier :
    
    — Bonsoir, M. Leloup. Papa va être content de vous voir ! Nous vous avons réservé une petite table tranquille, au fond là-bas…
    — Merci, Enzo, tu es bien aimable.
    
    Nous prenons place, et le dénommé Enzo nous tend la carte. Arrive alors le patron, un homme de l’âge de mon compagnon. Plus petit que son fils, il est râblé, avec ...
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