1. Monsieur Leloup, ou l'oiseau mort


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, poilu(e)s, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... demander lesquelles, Adèle a déjà semblé plutôt surprise de ce repas pris en commun. Je la laisse poursuivre un intense monologue sur les habitants de la maison de retraite dont aucun ne sort indemne… Je suis sûre qu’elle va cependant leur distribuer les chocolats que j’ai pris soin d’apporter dès que j’aurai le dos tourné !
    
    La semaine s’écoule, parsemée de partiels, que je réussis moyennement. Chaque soir, je tente une expédition au fond de l’appartement, sans succès. Je laisse la porte de ma salle de bain grande ouverte, sans résultat. Mon cherpervers-presqu’amant a disparu.
    
    Machinalement, le vendredi en fin d’après-midi, sans frapper, je pousse sa porte : il est là, debout, qui me sourit ! Après quelques secondes d’immobilité pour digérer ma surprise, je décide de sortir le grand jeu, puisque je l’ai sous la main pour un nouveau strip-tease. Tout en le regardant, je fais glisser mon jean, ôte, bouton après bouton, mon chemisier, et esquisse quelques entrechats en culotte et soutien-gorge devant lui. Son sourire s’accentue. Nous n’avons pas dit un mot. Je poursuis mon effeuillage, le plus lentement possible, donnant à chacun de mes gestes toute la lascivité que je ressens. Une fois nue, j’esquisse une danse orientale, vague souvenir d’un stage d’été, puis m’avance, me colle contre lui, me hisse pour prendre son cou et l’embrasser fougueusement. Il répond en me serrant dans ses puissants bras. Je frotte mes seins contre son torse, mon ventre contre le sien.
    
    Je ...
    ... vais me glisser contre lui, le prendre dans ma bouche ; je sais qu’aucun homme n’est capable de résister à une douce fellation. Je me laisse donc aller le long de son corps, mais, à peine ma descente esquissée, il me prend par les poignets et me relève avec une fermeté surprenante de sa part. Il me pousse vers le lit, m’y fait asseoir et écarter les jambes puis s’agenouille devant moi. La caresse de sa moustache drue sur la peau tendre de mes cuisses m’envoie des ondes presque insupportables dans le bas-ventre. Sa langue me pénètre ; il m’aspire, il me tète. L’état d’excitation dans lequel m’avaient laissée ses dernières caresses fait que très vite je rugis, et j’inonde son visage de vagues de cyprine. Il me boit intégralement. Je serre les cuisses pour, cette fois, éviter qu’il m’échappe.
    
    Décidément, un homme d’un demi-siècle est bien meilleur amant que ceux d’à peine un quart que je fréquentais jusque là !
    
    Une fois mon souffle calmé, je me laisse tomber sur le lit en l’attirant près de moi. J’entoure ses épaules et me love contre lui. Il me regarde toujours, avec un grand sourire. Alors je lance une main espiègle vers sa virilité : mon tour est venu de le rendre heureux.
    
    À nouveau, il bloque mon geste de manière ferme, presque brutale, se relève et rompt notre curieux silence :
    
    — Élodie, j’ai quelque chose à te dire.
    
    Je lui jette un regard implorant. Même s’il est marié, fidèle, etc., il a tort de troubler ce merveilleux moment !
    
    — Hum, je te dois la vérité. ...
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