Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... mains et des pieds, ce qui faisait horriblement mal, et rendait le spectacle fascinant – surtout en y participant. Notre seul regret de couple pervers : les victimes restaient complètement vêtues, alors que nous aurions bien-sûr préféré les voir complètement nues, ou à défaut couvertes d’un simple pagne. Il n’était pas question de choquer les habitants de ce pays en contrariant leur pudeur.
Divina souffrait avec une élégance et une dignité à couper le souffle. Jamais nous n’avions vu pareille beauté rayonner dans la déréliction du martyre. Elle se faisait crucifier pour la première fois, alors que certains fidèles pratiquaient cette activité chaque année depuis plus de dix ans. Elle souriait pendant que ses larmes ruisselaient sur sa figure comme une rivière lumineuse dans la moiteur tropicale de l’après-midi. Karine et moi étions ébahis.
Trois jours plus tard, grâce aux puissants médicaments, la maman était « ressuscitée ». Blandine, Divina, Karine et moi nous retrouvions dans une luxueuse suite d’hôtel, au centre de Manille. Divina nous était tellement reconnaissante qu’elle était disposée à nous suivre sur notre chemin de débauche. Blandine l’a initiée aux doux plaisirs gomorrhéens, toutes deux couchées sur le grand lit, alors que nous les admirions, Karine et moi, tout en nous masturbant. Les contraste des peaux, l’une très claire et l’autre sombre, était saisissant. Blandine a regardé les stigmates d’après crucifixion de notre amie et les trouvées vraiment ...
... admirables. Elle voulait subir le même traitement, la même folie, mais sur un mode plus érotique : complètement nue après avoir été déshabillée et « abusée » par des gardes romains en costume d’époque qui se partageraient ses charmes en se jetant sur elle comme des bêtes féroces, puis clouée les cuisses écartées, les pieds fixés verticalement sur les côtés du stripes, le montant de la croix se dressant vers le ciel.
Divina restait encore une innocente, mais plus pour très longtemps, car Blandine l’a initiée aux libertinages de la soumission. Notre brillante élève était devenue une maîtresse dans l’art de corrompre les âmes aux vices de la chair.
Notre dépravation de connaissait aucune frontière.
Au retour, nous avons fait escale en Arabie Saoudite afin de nous ravitailler en kérozène. Nous en avons profité, la chance aidant, pour assister à une exécution publique. Il s’agissait d’une mise à mort par décapitation au sabre d’une femme, pour le crime de lesbianisme. La pauvre condamnée se débattait et hurlait de terreur à pleins poumons – parce qu’elle laissait plusieurs orphelins, mais surtout parce qu’on lui avait promis l’enfer. En la regardant attentivement, alors que le bourreau se préparait, nous avons pu constater qu’elle ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans et qu’elle était vraiment belle. On voyait bien, à son regard, que ses bourreaux avaient abusé d’elle avant de lui couper le cou. Leur roi était présent aussi, entouré de ses gardes et des femmes de son harem, ...