1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... à Blandine, qui, curieuse comme une chatte, avait accepté de nous accompagner, comment les croyants de ce pays asiatique se faisaient transpercer les pieds et les mains avec des clous. Blandine était horrifiée, mais en même temps, nous savions que cette pratique l’excitait extrêmement. De plus, nous lui avions confié qu’une surprise l’attendait. Dans les canapés profonds de notre avion, elle ne tenait plus en place. Nous sommes restés nus durant tout le trajet, nous adonnant à de lubriques parties à trois que nous n’interrompions que pour nous nourrir de caviar et de homard, nous abreuver de champagne et pour dormir un peu (très peu).
    
    Une fois sur place, la surprise consistait au fait qu’au lieu d’assister passivement aux crucifixions rituelles, nous avons été autorisés à y participer, en maniant nous-même le marteau afin d’enfoncer les clous dans les extrémités des membres des fidèles. Ces clous étaient stérilisés en les trempant dans de l’alcool, mais ils étaient assez gros. Celles et ceux qui, par pure dévotion, se laissaient volontairement transpercer hurlaient de douleur. Ils avaient tous formulé des prières et attendaient de Dieu qu’Il les exauce en échange de l’offrande de leurs horribles souffrances physiques.
    
    Depuis plusieurs années, nous financions la construction d’une nouvelle église pour la paroisse dont le curé nous devait bien, en échange, cette autorisation de jouer aux légionnaires romains. Il savait que nous étions un couple de fameux pervers sexuels, ...
    ... mais il l’était également, et ne dédaignait pas, à l’occasion, d’abuser de la candeur de jolies paroissiennes, à l’instar de feu notre ami Pierre qui, pour la première fois, n’était pas du voyage. Nous arrivions toujours les bras chargés de cadeaux pour les uns et les autres, afin de rester certains d’être toujours bien accueillis. Socialement, nous étions considérés par tous comme des bienfaiteurs, et personne n’osait rien nos refuser.
    
    Divina était une jeune fille philippine de l’âge de Blandine. Elle était ravissante avec sa peau très mate et ses longs cheveux de jais. Il ne revenait l’honneur de la crucifier en public, à sa demande, car elle voulait qu’ainsi, Dieu exauce sa prière : sa maman était mourante à l’hôpital, atteinte d’une infection résistante aux antibiotiques traditionnels ; quand aux médicaments spéciaux, ils étaient rares dans ce pays et trop chers pour cette famille modeste. Discrètement, je me suis rendu à son chevet, j’ai rencontré ses médecins et, muni d’une mallette remplie de dollars, j’ai fait en sorte que les précieux flacons sortent par miracle de l’armoire à pharmacie. Les infirmières les ont administrés à la mère, qui finalement a été sauvée, pendant la crucifixion de Divina.
    
    Il n’était pas question de laisser les crucifiés s’asphyxier sur leur croix : ils y restaient seulement quelques minutes d’intenses souffrances, les pieds bien à plat sur une console afin de pouvoir respirer librement. Mais l’acier des clous frottait sur les nerfs des ...
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