1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... dont l’une, m’a-t-il semblé, le suçait sous sa djellabah au moment fatal où le fer qui brillait à l’implacable soleil de midi traversait la chair si fragile de la blasphématrice. Peut-être le monarque lui a-t-il fait miroiter une grâce royale en échange de ses charmes, avant de renier sa promesse pour ne pas décevoir son peuple avide de sang ? Ce genre de fabuleux spectacle n’existe plus en Europe depuis le milieu du XIXe siècle. Voilà un pays aux mœurs barbares où l’on sait encore vivre. (Chers lecteurs, trouvez-vous ces propos scandaleux ? Vous avez raison ! Mais alors, pourquoi les encouragez-vous chaque jour en remplissant le réservoir de votre voiture, car vous savez très bien, bande d’hypocrites, que le pétrole provient en grande partie de chez eux ! Fin de la parenthèse). Un homme et une autre femme ont été exécutés en même temps, l’un pour apostasie, l’autre pour sorcellerie. À la fin, le sang ruisselait sur les pavés. Blandine était blême. Les dernières digues d’innocence cédaient dans son cœur.
    
    Jour 25
    
    Tant il est vrai que l’argent appelle l’argent que Léa, malgré tout ce que nous avions déjà donné, a fini par manquer. Il est vrai qu’elle avait plaqué son emploi dans la grande distribution, qu’elle trouvait pénible, et qu’elle avait acheté une belle voiture et autres babioles de grand prix. Elle s’est donc résolue à venir nous voir afin d’être renflouée, et se disait prête à tout. Karine n’a pas tardé à voir l’intérêt que présentait cette offre de service ...
    ... dans le but qu’elle s’était donné : corrompre totalement et irrémédiablement le cœur innocent de Blandine.
    
    Alors que nous étions tous les trois réunis, Karine, Léa et moi, ma femme nous a exposé son plan diabolique.
    
    Jour 26
    
    Toute la journée, Karine et moi avons travaillé à notre fameux plan diabolique. La nuit, épuisés, nous avons dormis comme des bébés.
    
    Jour 27
    
    Vers vingt-deux heures, nous étions quatre dans la Ferrari de Karine : elle-même qui conduisait, Blandine, Léa et moi. Nous nous sommes rendus dans le sous-sol d’un immeuble des faubourgs où nous possédions des caves utiles à nos activités. Là, sous la lumière rougeoyante d’un pauvre plafonnier, Blandine a été priée de s’asseoir sur une chaise et Léa de se déshabiller complètement. Celle-ci a obtempéré. Je lui ai lié les mains derrière le dos, et passé des fers reliés par une courte chaîne, autour des chevilles. En voyant sa mère en posture de soumission, Blandine devait bien se demander à quelle sauce elle allait être mangée. Je la devinais tendue. Elle avait raison de s’inquiéter.
    
    Puis, j’ai soulevé la plaque de bois qui recouvrait une grande partie du sol. Immédiatement, j’ai vu les beaux yeux de Blandine s’écarquiller d’horreur. Au fond du trou qui s’ouvrait à nos pieds grouillaient des centaines et des centaines d’araignées de toutes espèces, mygales, tarentules, veuves noires, des scorpions aussi, dans un foisonnement compact qui m’a donné un haut-le-cœur. Blandine a directement vomi son dîner. ...
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