1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    En 1985, alors que je me trouvais en classe de troisième, le professeur de français disait :
    
    Tout écrivain ne prend la plume que pour exprimer un message. Autrement, il n’est pas un écrivain, mais un Scribouillard.
    
    Comment nous en sommes arrivés là
    
    Mon épouse Karine a le vice chevillé au corps. Depuis que nous nous sommes connus - vingt ans déjà - elle a toujours été la femme perverse à la libido venimeuse que j’ai toujours adorée à genoux. Mon esprit masochiste a toujours trouvé de sombres satisfactions à souffrir pour elle. Cependant, elle s’est lassée de se servir de moi comme victime consentante. Mon dos déjà strié de cicatrices de coups de fouets n’éprouvait plus cette sombre joie à s’offrir à ses pulsions sadiques. Moi-même obsédé sexuel et tout aussi enfoncé qu’elle dans la dépravation, j’étais frustré de ne pas aller toujours plus loin dans l’immoralité. Plutôt que nous séparer, nous nous étions mis en quête d’une autre partenaire, quelqu’un qui consentît à s’immoler sur l’autel de ses désirs.
    
    Mon ami Pierre avait trouvé la personne idéale. Il était prêtre catholique, curé d’une paroisse aisée des faubourgs, de réputation sans tâche, bien que passionné par la féminitude. En dépit de ses 75 ans, il n’avait rien perdu de ses ardeurs juvéniles. Souvent, il venait dîner à la maison, et après le repas, il offrait à Karine les ressources de son imposante virilité, car il était équipé comme un faune et ne débandait pour ainsi dire jamais. D’autre paroissiennes, ...
    ... mariées ou pas, l’avaient également essayé, toujours avec bonheur, mais discrétion, eût égard au vœu de chasteté que cet homme n’avait jamais respecté, tout en maintenant une façade honorable de membre du clergé. Ses prêches, il faut l’avouer, était un modèle d’hypocrisie où il pourfendait avec vigueur le stupre et la fornication, pour mieux s’y complaire une heure plus tard, jusque sur l’autel sacré de l’église dont il avait la responsabilité. Ces éteintes avec ma femme avaient lieu devant moi, car je n’étais pas jaloux ; c’était même un régal pour les yeux de la voir se faire prendre en levrette, ou bien sodomiser bien profondément, et sa petite rosette se trouvait bien écartelée que le trou restait longtemps béant, ce que j’ai toujours trouvé magnifique. Elle jouissait avec une intensité communicative. Pendant ce temps, je me mettais nu, et je me masturbais avec application. Elle ne manquait pas de se moquer de la taille relativement modeste de mon pénis, en comparaison avec l’énorme gourdin violacé de mon ami Pierre. Après que celui-ci s’était déversé dans les orifices intimes de ma chère et tendre, j’y ajoutais ma contribution de foutre, et c’était toujours un bonheur de se plonger là où un autre venait d’éjaculer.
    
    Mais ces petites orgies privées n’était rien par rapport à ce Pierre nous avait proposé juste après une séance coquine chez nous, alors qu’affalés dans les fauteuils, sans même avoir fait l’effort de nous rhabiller, nous sirotions un excellent whisky. Notre ...
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