1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... ami bandait toujours.
    
    Il venait de recevoir en confession l’une des lycéennes de l’établissement privé dont il était l’aumônier, une jeune fille prénommée Blandine. Je l’avais déjà croisée dans la rue, non sans remarquer sa beauté insolente, mais sans arrogance. Elle était, avait-il affirmé, d’une innocence parfaite, pour avoir été soigneusement tenue dans la plus totale ignorante de toutes les choses du sexe et des plaisirs de Vénus. Heureusement, le lycée privé catholique dans lequel elle se trouvait en internat veillait à la candeur de ses pensionnaires en ne tolérant dans ses murs aucune pollution par l’érotisme ambiant de la société. Sa famille, constituée par sa seule mère, faisait le reste, en complétant une éducation basée sur le pur respect de la morale catholique traditionnelle. Tout ce qui était lié au corps, et plus particulièrement aux parties sexuelles, restaient totalement tabous. A l’âge de treize ans, elle a ainsi cru être atteinte d’un cancer en se voyant saigner chaque mois en secret. Sa pudeur lui interdisait de porter des tenues légères en été : toujours des jupes longues et des corsages très sages qui ne laissaient pas deviner trop facilement ses belles formes féminines.
    
    Elle était belle, ses yeux rayonnaient d’une lueur d’intelligence, sa voix claire évoquait un chant des anges, et son visage était d’une pureté de déesse chaste. Une perle rare dont il ne fallait pas laisser l’occasion de profiter honteusement. Nous l’avons fait, je l’avoue, et ...
    ... mon âme a pris la noirceur de celle de mes deux complices.
    
    Cette jeune fille, donc, avait avoué à Pierre, dans le secret de la confession qui était censé être respecté absolument, qu’elle pratiquait la masturbation avec une régularité et une lasciveté coupable. Faute d’informations, elle se livrait avec de grands scrupules à cette activité, toute seule, la nuit, dans son petit lit. Parfois, elle se regardait dans un miroir, toute étonnée de découvrir entre ses jambes un étrange a****l muni de poils qui s’humidifiaient lorsqu’elle y portait ses doigts. Circonstance aggravante : elle y trouvait une volupté superlative, non pas de simples spasmes, mais des éruptions volcaniques proches de l’extase, avec, au cœur de la transe solitaire, des jaillissements dignes du déluge du livre de la Genèse. Malgré sa volonté, l’attirance pour cette occupation était encore plus intense, de sorte qu’elle ne parvenait pas à s’en empêcher. Les rechutes succédaient aux victoires. Elle en pleurait chaque jour depuis plusieurs années. Elle priait avec ferveur pour être libérée des élancements de son ventre. Malgré la honte qui empourprait son beau visage et l’angoisse qui nouait ses intestins, un matin de printemps suivant une nuit où elle avait rejoint le septième ciel et l’ivresse charnelle à l’aide de ses seuls doigts, elle était entrée dans le confessionnal afin de s’accuser de son horrible penchant.
    
    Immédiatement, Pierre avait perçu l’intérêt de ce témoignage pour ses activités libertines. ...
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