La lutte des classes (2)
Datte: 09/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... parlerai demain. Je réveille B et me couche. L’odeur de Quatre flotte dans sa tente. C’est une senteur agréable qui me permet de m’endormir rapidement.
* * *
A la lecture de cette nouvelle journée, je n’ai pas pu m’empêcher de me toucher les seins et la chatte. Quand je relève la tête du carnet, je vois la bite de Victor toute dressée devant mes yeux. Il se touche nonchalamment également, il rêvasse un peu, puis tourne son regard vers moi. D’abord doux, il devient dur et je reçois une gifle.
— Qui t’as autorisé à te toucher ?
— Pardon, Vic, euh V pardon.
Une deuxième gifle s’abat sur moi, car je ne l’ai pas appelé V. Je mouille encore plus qu’à la lecture du carnet. Il me prend par les cheveux et m’oblige à le regarder.
— Dorénavant, on va appliquer les mêmes règles quand nous serons seuls. Tu es nue tout le temps, je peux faire de toi ce que je veux. Et tu perds ton pucelage à la moindre connerie. Car t’es encore vierge, non ?
— Oui V.
— D’ailleurs, à part branler un garçon, t’as été plus loin ?
— Non, V. Je n’ai pas eu l’occasion.
— Et les filles ?
— Un peu de touche-pipi avec une copine de classe.
— Tu as aimé ?
— Oui, V.
— Alors, raconte-moi ça en me branlant, il faut que je me vide. Comme je suis gentil, tu peux te toucher en même temps. Mais pas le droit de jouir avant moi.
Je prends son sexe en main et commence à le masturber. Contrairement aux guides, moi je l’ai déjà fait, donc Vic n’a pas besoin de me dire comment ...
... faire. Je me caresse le clitoris en même temps. Il est déjà hypersensible. Je dois faire doucement sinon je vais partir la première. Je raconte à Vic que c’est arrivé quand ma copine Léna est venue à la maison un samedi. Mes parents sont sortis quelques minutes pour aller chercher mon petit frère qui était à un goûter d’anniversaire. Elle se plaignait de ne pas avoir de nichons encore. Pour moi, son problème c’est qu’elle ne les mettait pas en valeur. Léna avait du mal à me croire. On s’est comparées dans le miroir, habillées. Puis, je lui ai fait enlever son haut et son soutif. Moi, j’ai fait pareil. On a comparé de nouveau. Alors, oui, ses nénés étaient plus petits, mais à peine. Et puis, les siens me semblaient plus fermes. J’ai touché, cela l’a surprise. Mais je lui ai dit de faire pareil. On s’est un peu tripoté les nichons.
J’ai eu envie qu’elle me caresse ailleurs. Alors, je l’ai complimenté sur son cul que je trouvais plus beau que le mien. Je crois qu’elle a sauté sur ce prétexte pour qu’on se foute à poil toutes les deux. Je lui ai palpé le cul. Lui aussi était plus ferme que le mien, mais un peu moins rebondi. Elle s’est mise à me caresser les fesses. C’était trop bon. Alors j’ai osé venir mettre ma main sur son pubis en lui disant que je trouvais sa toison plus jolie que la mienne. Elle s’est laissée faire un instant puis a mis la sienne carrément sur ma chatte. Léna ne s’est pas embarrassée d’une fausse excuse et a commencé à me branler le bouton. Comme on était ...