La lutte des classes (2) - Histoires de Sexe

La lutte des classes (2)

... parti, je lui ai fait la même caresse. On a rapidement joui toutes les deux. On s’est même embrassée après. C’était tout doux. On n’a pas recommencé, je ne sais pas si elle aime cela au final. Moi je ne dirais pas non.

Heureusement pour moi, raconter cela me permet de faire durer sa masturbation et de ralentir la mienne. Quand je finis, j’accélère son branlage, et mon doigté. Vic vient le premier. De longs jets sont expulsés en l’air, et retombent au sol. Je me fourre alors deux doigts dans la chatte et me fais jouir aussi. Vic me regarde me remettre. Il me caresse la tête comme il le ferait à une chienne. Puis il m’attrape de nouveau par les cheveux et me dit :

— Maintenant, tu nettoies.

Il plaque alors mon visage sur son sexe. Je dois lécher son gland pour enlever toute trace de sperme. C’est la première fois que j’en goûte. J’ai peur de vomir ou d’avoir un haut-le-cœur. Mais en fait, cela va. Ce n’est pas horrible, la texture est juste un peu dure à avaler. Heureusement que je ne l’avais pas en bouche, sinon je me serais étouffée. Quand j’ai fini, il me relâche.

Je pense que notre jeu est terminé pour aujourd’hui, alors je prends mes affaires. Mais je reçois deux claques sur les seins.

— Les ...

... parents ne sont pas rentrés, donc la règle s’applique encore. Allez, au travail.

Vic m’oblige à travailler pendant qu’il me donne des ordres. Des fois, il me fait faire quelque chose pour faire le contraire juste après. C’est avilissant, mais j’aime cela. Je passe le reste de l’après-midi avec la chatte humide. Quand on entend enfin la voiture, on s’arrête et l’on s’habille. Au final, nous avons fait pas mal de tri aux yeux des parents. Nous dînons puis nous allons rapidement nous coucher, car aujourd’hui, c’est nous qui avons le plus travaillé. Dans notre chambre, Vic se met nu pour dormir, moi aussi du coup. Il me regarde, je pense qu’il va reprendre le jeu, mais non :

— Flo, tu dois avoir les cheveux aussi soyeux que ceux de mamie. Je peux les toucher encore ?

Vic a repris une attitude normale, j’accède à sa demande et le laisse faire. Il les caresse et les hume longuement. Puis il me laisse me coucher. Avant d’éteindre, il me demande :

— Demain on continue ?

— Oui.

— Mêmes règles ?

— Oui.

Il éteint et se tourne de l’autre côté. Je regarde un peu son dos, il est musclé et attirant, je voudrais le caresser. Mais je me retiens et me tourne aussi. Je m’endors assez vite. J’ai hâte d’être à demain.