La lutte des classes (2) - Histoires de Sexe

La lutte des classes (2)

... guides. Elles ont aussi leur laisse. Nous nous décidons à immortaliser tout cela sur des photos.

Chef se lance ensuite dans la lecture et l’explication de textes bien plus engagés dans l’action violente que ceux de la veille. Les guides restent à nos pieds et doivent écouter sans dire un mot. Elles sont plus que perturbées d’entendre tout cela. Cela les révolte un peu quand même. On doit tirer sur la laisse pour les faire tenir tranquille. Je ne suis pas convaincu par ce discours, mais j’ai appris à le cacher pour qu’on me laisse tranquille. Autant, je crois au communisme, mais les actions violentes plus ou moins aveugles, je n’adhère pas. Je sonderais bien B et M car je crois qu’ils sont comme moi. R et Chef sont beaucoup plus dans cette ligne que nous. Chef nous interroge sur ce que nous avons retenu de son cours de la veille. Nous avons l’habitude de ces interros surprises alors nous répondons facilement. Par contre, nos esclaves ne savent pas donner les bonnes réponses. Elles vont se faire punir.

Là, je suis partagé; autant je vais prendre plaisir à fouetter Quatre, autant je suis gêné, car elles n’étaient pas au courant.

Chef les fait mettre debout en rang. Nous nous mettons devant elles. Elles vont se prendre une volée pas vraiment méritée. Chef fait glisser le bout de sa badine sur la poitrine de Un. Elle tressaille autant de plaisir que d’appréhension. Nous imitons notre chef, elles frémissent de peur, je le vois dans leurs yeux. Cela me fait bander cette ...

... situation, car là, on est plus dans le jeu sexuel que dans la punition physique. Et puis, nous bandons tous de ce jeu sadique. Plusieurs fois, elles tentent de mettre leurs mains sur leurs poitrines, mais une petite tape les en empêche. Finalement, Chef assène un léger coup sur chaque sein de Un. Elle frémit et soupire comme si elle voulait qu’il continue. Nos chiennes réagissent de la même façon lorsque leurs mamelons sont fouettés légèrement.

— Vous ne saviez pas que vous pouviez être questionnées sur le cours précédent. Ce sera le seul avertissement. C’est compris ?

Elles acquiescent vite. Elles sont rassurées pour l’instant, mais leurs seins continuent de darder vers le ciel. Cela affole mes hormones de voir cela. Je sauterais bien sur Quatre pour lui téter les nichons. Mais je me retiens, on n’est pas des animaux. On est censés construire un monde régi par l’idéal communiste, pas un monde de bêtes sauvages.

Le reste de la journée est passé à aménager le camp pour dix. Puis nous dînons autour du feu. Elles se sont tenues à carreaux toute la journée donc on les laisse sans entrave pour la nuit. On prend leurs tentes et elles dorment nues sous les couvertures autour du feu. Je prends encore le premier tour de garde. Je repense à ma chienne, j’ai joué avec ses seins, ses fesses, les pinçant, les étirant, les palpant. Je suis content d’elle, elle a bien obéi. Il faudra qu’elle ait une récompense, je songe. Les autres aussi, car elles se sont toutes bien comportées. J’en ...