1. La lutte des classes (2)


    Datte: 09/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... vraiment pas quoi en faire. Je me dis que je suis tombé sur la plus nunuche, mais en fait, elles sont toutes comme des poules devant un couteau. Chef s’exaspère, et prend la main de Un.
    
    — Voilà, comme ça, et tu coulisses...Pas si fort, c’est pas un pis de vache ! Voilà, voilà, tu vois quand tu veux.
    
    Je prends la main de Quatre et la place correctement. Sa main est douce et chaude, je prends mon pied. Les soupirs de mes camarades me font dire qu’elles ont toutes pris le coup de main. Je suis tout à mon plaisir quand j’entends la voix de B se faire plus aiguë. Il jouit abondamment dans l’herbe de la prairie. Rapidement, R, puis moi, le rejoignons. M et Chef se vident un peu après nous. Nos sexes se rapetissent lentement, du sperme encore présent sur le gland. Il va falloir que je m’essuie dans un tissu ou que j’aille au torrent me rincer. Mais Chef a une bien meilleure idée :
    
    — Nettoie-moi !
    
    Un ne réagit pas assez vite, car elle ne comprend pas comment elle doit faire. Chef s’agace et l’attrape par les cheveux. Il la tire vers lui en lui tordant le cou pour qu’elle le regarde. Une grimace de douleur et ses bras battent l’air. Chef lui prend la mâchoire et lui fait mettre la bouche en cœur en pinçant ses joues très fort.
    
    — Avec ça, idiote.
    
    Toujours en la maintenant par les cheveux, il lui approche le visage de son sexe. Elle a un rictus de dégoût, mais n’a d’autre choix que de lécher le gland poisseux. J’attrape à mon tour Quatre. Je suis étonné, sa chevelure ...
    ... noire est dense et soyeuse à la fois. Mais je l’oblige comme les autres à me nettoyer de sa langue. C’est la première fois qu’une fille me suce ou me lèche là. C’est trop le pied. On aurait dû demander cela plutôt qu’une branlette. Cela la rebute, mais elle le fait sagement, comme les autres. Elles ne veulent plus subir de coups pour l’instant. Mais elles ont un petit côté rebelle, surtout la mienne, dont je me méfie. Quand elles ont fini, Chef reprend la parole :
    
    — Je vais vous donner les règles de ce camp. Chaque faucon a choisi sa chienne. Il en prend soin et ne la frappe pas inutilement. Leurs corps sont à votre disposition, mais leur pucelage reste intact tant qu’elles restent sages. Si l’une tente de s’échapper, de faire du mal à son maître, de prévenir l’extérieur, elles seront toutes dépucelées. Vos chiennes ne seront jamais plus habillées que comme tout à l’heure et la plupart du temps elles seront nues.
    
    Il fait une pause puis nous demande :
    
    — Camarades, pour nous aussi, la nudité sera-t-elle de rigueur ?
    
    Question difficile. Je ne sais pas trop. D’un côté, je ne vois pas pourquoi je devrais être nu aussi. De l’autre, cela sera plus facile pour plein de trucs que j’ai envie de faire à ma chienne. Ma perversité prend le dessus. Je suis pour. B et M aussi. R est moins convaincu, mais se plie à la majorité. Nous nous foutons à poil aussi. Nous ne gardons que notre foulard des faucons et une ceinture dans laquelle passer la badine. On fait garder leur béret aux ...
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