La lutte des classes (2)
Datte: 09/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... travail pour les nôtres.
Chef réfléchit quelques instants, puis décide qu’on va venir sur ce camp. Nous retournons au nôtre, les guides emballent tout sauf nos effets personnels dont nous nous chargeons. Nos chiennes prennent en charge le chariot et les trucs bien lourds. Elles s’épuisent vite et manquent de tout faire tomber dans la rivière une première fois. A la seconde, nos couvertures prennent l’eau. On leur crie dessus, on les insulte, on les humilie. Elles chargent à nouveau le chariot et l’on repart. Quand on arrive à leur camp, il est midi. Elles nous préparent à manger puis se nourrissent après nous. Nous nous allongeons un peu et nous les regardons travailler. Leurs seins et leurs fesses sont sous nos yeux. Moi, qui n’en avais pratiquement jamais vu, je suis aux anges.
— Venez là ! exige Chef.
Les guides arrivent précipitamment. Elles commencent à être dressées convenablement.
— Bon, il va falloir vous punir pour les couvertures.
Elles blêmissent et baissent la tête. Leurs yeux se mouillent déjà de larmes.
— A poil ! Et à genoux, les mains sur la tête.
Nous nous levons et tournons autour d’elles comme des prédateurs.
— A, va nous chercher un pot de peinture et un pinceau.
Quand je reviens, Chef ouvre le pot et trempe le pinceau. Il s’en sert alors pour peindre le numéro de chaque fille sur leurs ventres et leurs reins. Elles sont encore plus réduites à des numéros. Chef se met ensuite à côté de Un, puis il nous demande d’en choisir ...
... une. Je garde Trois que j’ai capturé ou j’en prends une autre ? Je me décide vite et prends Quatre. Son air de défi permanent me donne plus encore envie de la mater. B prend Deux, R Trois et M Cinq. Tout le monde a l’air très satisfait de son choix.
— Bien, passons à la punition. Vous avez mouillé combien de couvertures ?
— Six, répond Un.
— Alors, six coups de badines sur les seins.
Nous les frappons avec un plaisir vicieux et pervers. Et ces putes réagissent en criant, en suppliant. Mais leurs tétons se dressent malgré elles. Même Deux, avec ses œufs au plat, on voit l’effet que cela lui fait. Des larmes coulent sur leurs joues, mais elles se retiennent d’exprimer leur douleur plus que cela. On dirait qu’elles ne veulent pas nous faire ce plaisir. Je leur mettrai bien d’autres coups de badines, mais on a dit six. Tout cela m’a fait bander comme un bourricot. Il faut que je me branle. Chef voit bien que nous sommes excités. En même temps à 18 ans, il en faut peu.
— Camarades, vous bandez tous ? Moi aussi. Nos salopes vont nous soulager.
La peur se voit sur leurs visages, elles doivent penser qu’on va les violer. Mais Chef ne veut pas aller aussi loin, pas pour de simples couvertures mouillées.
— Sortez nos sexes et masturbez-nous !
Elles soupirent de soulagement, mais ne bougent pas, il faut un coup sur leurs fesses pour qu’elles extirpent nos bites de nos pantalons. Quatre me tient la bite avec trois doigts, et encore du bout de ceux-ci. Elle ne sait ...