Agnès, babby-sitter - Histoires de Sexe

Agnès, babby-sitter

... que j’acceptais sa proposition.
— Je ferai le repas, lui dis-je.

Je dois avouer que la perspective de ce dîner en tête à tête me réjouissait plus que de raison. Je n’aurais su dire pourquoi exactement, mais j’en ressentais une impression de bien-être possible.

— Je me suis appliquée à la confection des plats avec mes petites connaissances culinaires. Nous avons débuté par un verre de champagne pour fêter cette primeur. Au cours du repas Bernard a parlé beaucoup, racontant des anecdotes de son travail qui tournent beaucoup autour de successions qui ne satisfont pas l’un ou l’autre des héritiers quand ce ne sont pas les deux. Nous avons ri de ses histoires tout en descendant une bouteille de chablis qui accompagnait le poisson. Au café son regard est devenu très doux et posant sa main sur la mienne, il me dit :
— Et vous, vous ne m’avez encore rien raconté. Dites-m’en un peu plus sur vous.

Sa main était toujours sur la mienne. Je n’osais pas la retirer, ce que j’aurais dû faire, mais je sentis que je n’en avais pas envie. Je balbutiai quelques banalités et j’ai fini par me lever prétextant qu’il fallait que je range la table.

— Arrivée dans la cuisine, alors que j’avais les mains prises par les assiettes sales que j’allais déposer dans l’évier, des mains m’ont saisie par la taille et un baiser doux et prolongé est venu s’écraser sur ma nuque. J’étais comme paralysée, saisie par un double sentiment de révolte et d’acceptation. Mon cerveau me commandait de me ...

... retourner et repousser l’intrus, mon corps me commandait de ne pas bouger, de voir venir. Les mains, quittant ma taille, sont venues emprisonner avec douceur mes seins dont je sentis déjà les bouts qui se redressaient. Collé à moi je sentais sur mes fesses la queue de Bernard, qu’il faisait lentement rouler entre mes globes fessiers. J’avais fermé les yeux et mon corps avait pris le dessus sur mon cerveau. La main de Bernard remonta le long de ma cuisse, en effleurant la peau. J’ai senti que les lèvres de ma chatte gonflaient et que la mouille commençait à polluer ma petite culotte. Sous l’emprise de ce ressenti, je laissai échapper un gémissement. Il n’en fallut pas plus pour encourager Bernard dans son entreprise. Appuyant sur mon torse il m’a positionnée de telle sorte que, relevant ma jupe et écartant simplement le tissu de ma culotte, il a enfoncé son pieu lentement dans ma chatte qui visiblement ne demandait que cela, car elle émit un suintement de satisfaction qu’elle renouvela presque à chaque fois que la queue s’enfonçait profondément en elle. À chaque suintement répondait un gémissement de ma gorge. Bernard n’a pas tardé à éclater. Sa queue grossissait contre mes parois vaginales et j’ai ressenti les spasmes libérateurs de son foutre ce qui a provoqué ma propre jouissance.
— Après avoir repris nos esprits, nous nous sommes regardés avec l’air d’enfants pris les doigts dans la confiture. Nous avions l’air aussi ennuyés l’un que l’autre, mais en fait nous étions aussi ...