Agnès, babby-sitter
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
extraoffre,
autostop,
douche,
ffontaine,
confession,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... heureux l’un que l’autre. Finalement nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre et un baiser fougueux, amplifié par l’insolite de nos pensées et de nos agissements, a mis fin à la gêne et a signé le nouveau contrat. Dans le quotidien nous nous efforcions au naturel. Mais les occasions de nous retrouver dans l’intimité ne manquaient pas, les horaires du couple étant très souvent différents et Jan n’étant pas encore en âge de pouvoir réaliser et raconter. Avec Bernard nous nous entendions bien pour donner le change auprès de Sylvie comme auprès des visiteurs du couple dont certains laissaient ouvertement comprendre qu’ils trouvaient plutôt insolite la présence permanente d’une baby-sitter. Et même, je soupçonnais que certains mâles étaient jaloux de leur ami Bernard !
À ce stade du monologue d’Agnès, je m’étais rendu compte que j’étais tiraillé par deux sentiments assez contradictoires. Un sentiment de jalousie, que j’avais du mal à réprimer, assombrissait mes pensées. Sentiment que je ne trouvais pas raisonnable, mais qui me taraudait un peu plus que je n’aurais voulu. Mais par ailleurs, Agnès avait si bien décrit l’évolution de la situation et surtout avait si bien détaillé la scène dans la cuisine qu’elle avait réveillé ma libido et que je bandais comme si je visionnais un porno ou écoutais une professionnelle du sexe téléphonique.
Nos mains caressant négligemment et réciproquement nos corps, à cet instant de son récit, la sienne a effleuré ma bite.
— Mais tu me ...
... sembles tout excité par ce que je raconte. Je veux en profiter.
Écartant le drap elle est venue s’empaler à califourchon sur mon pieu. La cavalcade a démarré par un stade au pas, un petit trot a suivi, le passage du trot au galop s’est fait rapidement, mais n’a pas duré, car le poteau « arrivée » fut vite atteint, la cavalière s’effondrant sur le cheval vidé. Une petite séance de câlins doux s’en est suivie. Toutefois la curiosité m’a repris et je demandai à Agnès de reprendre son histoire.
— La situation telle que je viens de te la décrire a duré plusieurs mois. Je n’étais pas amoureuse réellement de Bernard, mais nous nous entendions bien dans la vie courante et dans nos ébats au lit ou ailleurs. Il avait une prédilection pour l’amour dans la cuisine, sur la table ou à l’évier, sans doute en souvenir de la première fois. De son côté il ne me posait jamais de questions sur mes fréquentations. Et leur couple semblait vibre dans une bonne entente. Mais voilà qu’un samedi, Bernard est absent pour le week-end. Le temps était à la pluie et je n’avais pas de projet de sortie. Je pensais en profiter pour effectuer quelques révisions. Le matin j’ai fait un peu la grasse matinée, lisant au lit. Je suis partie faire ma toilette en milieu de matinée. Alors que j’avais pris ma douche et que je m’apprêtais à me maquiller légèrement, on frappe à la porte de ma salle d’eau et Sylvie me demande si elle peut entrer. J’étais en nuisette, mais comme je ne suis pas très prude je lui ai ...