1. Agnès, babby-sitter


    Datte: 04/03/2020, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, extraoffre, autostop, douche, ffontaine, confession, Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe

    ... persuader que cette jeune beauté était là pour moi. Me voyant à son tour dans le miroir elle s’est retournée et m’a fait signe de m’avancer avec un sourire où je ne pouvais y voir que bonheur et promesses. Nous nous sommes embrassés d’un léger baiser sur les lèvres, ce lieu trop public me faisant réprimer toute grande manifestation trop intime. Pourquoi ? Je ne saurais vraiment le dire, mais peut-être que la différence d’âge et surtout le fait que je l’ai connue enfant inhibaient mes manifestations amoureuses en public.
    
    Le repas a été léger et rapide, il était évident qu’il nous tardait de nous retrouver dans l’intimité de ma chambre. Nous avons fait l’amour une première fois avec une vigueur d’affamés. La seconde séance par contre a été pleine de douceur et d’attentions réciproques. Agnès n’avait pas de tabou, mais aimait prendre des initiatives. Elle savait ce qu’elle voulait et arrivait à vous imposer ses désirs. Et comme mon ambition première était de la satisfaire, c’était parfait. J’ai toujours trouvé ennuyeux les cas où madame ou mademoiselle n’exprime jamais ses désirs et ne manifeste de façon quelconque, par soupirs, gémissements, petits ou grands cris, le plaisir ressenti. Avec Agnès nous n’étions pas dans ce cas. J’ai eu le plaisir de fourrer ma queue dans tous ses trous et d’y éclater. Entre chaque exercice elle passait un moment à caresser, lécher, sucer, aspirer mon membre pour que doucement il reprenne sa vigueur. Son massage me mettait aux ...
    ... anges.
    
    Épuisé je finis par demander grâce. Elle a consenti à ce que nous nous endormions. Le lendemain matin nous n’allions pas travailler. Je n’avais qu’une réunion qui débutait à 14 h 30 et Agnès me dit être également libre. Avant de commander le petit déjeuner, nous avons décidé de faire un peu de toilette, car les ébats de la veille étaient visibles sur nos corps. Les débordements de sperme et de mouille nous faisaient des croûtes peu présentables sur tout le corps. Les beaux cheveux d’Agnès semblaient avoir traîné dans un pot de colle. Mais voilà, la décision de savoir qui passait à la douche le premier n’a pu être prise, car celle de la prendre ensemble nous a paru une évidence. À se laver, frotter mutuellement nous n’avons pu résister à essayer le pouvoir du savon en tant que lubrifiant. Une levrette dans les deux trous s’est imposée. L’avantage de la douche, c’est que le nettoyage, après, est quasi simultané.
    
    Après le petit déjeuner pris au lit, nous sommes restés allongés l’un contre l’autre, nos mains caressant négligemment nos corps. Un besoin de parler un peu se faisait sentir. Jusqu’à présent j’avais un peu parlé à Agnès de ma vie professionnelle, du fait que j’étais divorcé et vivais seul actuellement, mais sans m’étendre sur les pourquoi et les comment. D’elle je connaissais qu’elle était professeur de sciences naturelles dans un lycée parisien. Sans doute m’avait-elle cité le nom du lycée, mais je n’y avais pas fait attention sur le moment. Je lui demandai donc de me ...
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