1. Agnès, babby-sitter


    Datte: 04/03/2020, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, extraoffre, autostop, douche, ffontaine, confession, Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe

    ... garde-à-vous entre les jambes d’Agnès. Cette dernière reprenait à peine conscience qu’elle me prenait par la taille et m’attirait à elle. Couché sur elle, nos bouches s’accolèrent et un long discours débuta entre nos langues qui s’expliquaient jusqu’au fond de nos amygdales. La position face à face, était idéale pour que nos sexes fassent connaissance. Le mien prit un grand plaisir à pénétrer dans la caverne dont l’entrée hyper lubrifiée était grande ouverte. Il s’y actionna lentement au début puis accéléra progressivement, guidé en cela par les mouvements de la langue d’Agnès dans ma bouche.
    
    L’onde du plaisir montait le long de mes jambes, de mes cuisses et je n’allais plus maîtriser la situation quand Agnès m’a mordu la langue, s’est cambrée et son vagin est venu comprimer ma queue prête à éclater. L’explosion que j’en ai ressentie était faite d’un mélange de douleur à ma langue, d’évacuation bienfaisante de mes bourses hyper gonflées et de grande mouille entre mes cuisses. Dans cette apothéose je me suis effondré sur ma partenaire. Le sommeil nous a réunis, mais la fraîcheur au bout d’un moment nous a réveillés. Nous nous sommes glissés entre les draps sans dire un mot et imbriqués l’un dans l’autre nous nous sommes rendormis.
    
    Le lendemain matin, nous nous regardions un peu étonnés de nous retrouver nus, ensemble, dans un lit. La même pensée nous saisit en même temps et nous avons éclaté de rire avant d’échanger un bon baiser bien baveux. Il était évident pour l’un ...
    ... comme pour l’autre que nous avions envie de refaire l’amour, il suffisait de voir mon chibre déjà raide ou les bouts des seins durcis d’Agnès pour que nous le sachions, mais nous n’avions pas le temps. Pour nous consoler, nous nous sommes promis de nous retrouver le soir pour dîner et de passer une nouvelle nuit ensemble.
    
    La journée m’a paru particulièrement longue. Au repas de midi que j’ai pris seul, je ne pouvais me sortir l’image d’Agnès nue. Quelle belle fille ! Quelle pureté de lignes. Fausse maigre, je revois ses chairs fermes, ses courbes harmonieuses, ses seins bien proportionnés que recouvrent ses longs cheveux noirs, son ventre plat et ferme sous une peau à la texture douce et moelleuse, un pubis où la toison noire et soignée dessine un triangle régulier, la pointe semblant désigner le lambeau de peau qui sert de fourreau à l’instrument du bonheur. Ces pensées lubriques m’ont donné une trique infernale. Je n’ai pu résister à aller aux toilettes et me calmer en me masturbant devant les images de ce corps qu’il me tardait d’étreindre. À peine soulagé, je me suis empressé de finir mon café et de me remettre au travail pour que mon cerveau occupé ne se prenne pour ma queue encore une fois.
    
    La fin de journée est arrivée enfin et à l’heure dite j’ai retrouvé Agnès au bar de la brasserie près de mon hôtel. Grâce au grand miroir qui prenait tout l’arrière du bar, je pouvais l’observer dès mon entrée de dos et de face. Comme elle était belle ! Je n’arrivais pas à me ...
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